Un employé aigri
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
complexe,
vengeance,
pénétratio,
amourcach,
... n’avoir pas cligné une seule fois. Sans ses chaussures, elle est un peu plus petite que moi. Je sens son souffle sur mon menton. Il y a une tension énorme dans cette pièce. Je referme ma bouche qui est bêtement restée entrouverte tout au long de ces découvertes. Elle m’attire à elle, m’attrapant par le col de ma chemise. Elle m’embrasse par petites touches. De petits bisous chastes, en quelque sorte. Je suis tout émotionné. Depuis combien de temps avais-je embrassé une femme ? Pffffff. Quelques années. J’oublie tout cela et me concentre sur Catherine. Je fais descendre ma main vers sa hanche. À vrai dire, je ne réfléchis pas trop à ce que je fais. Je me laisse guider par mon envie de caresser cette femme, et mes gestes se font quasi sans que j’y pense réellement. Je l’embrasse encore, mais à pleine bouche maintenant. Ma langue s’insinue entre ses lèvres. Je sens que la sienne ne reste pas inactive. Un vrai baiser. Ça n’a l’air de rien, n’est-ce pas ? Eh bien moi j’en suis tout « chose ». J’ai chaud. Je me sens bien. Surtout, surtout ! ne pas trop gamberger ! Laisser mes sens « physiques » prendre le dessus sur tous mes questionnements métaphysiques. À ce propos, j’ai une réaction très physique dans mon pantalon. Ce n’est pas une érection grandiose, non, mais ça ne peut être que de bon augure pour la suite. Maintenant, c’est Catherine qui m’embrasse, c’est-à-dire que c’est elle qui prend l’initiative. Elle me lèche presque. Mais tout ceci reste dans le domaine de la retenue. ...
... Elle se recule, se détache, enlève ma main qui était restée sur sa hanche et me mène dans une chambre. Elle m’oblige à me coucher sur le lit. Elle se dirige vers les fenêtres et tire les rideaux. La chambre est plongée dans une douce pénombre… Elle lève ensuite la couette et se couche, tout contre moi. Je ne la vois plus. Je ne peux que deviner ses formes sous les draps. Curieuse sensation que d’avoir un édredon entre nous. Je me retourne face à… la forme. — Heu… Comment dire ? Est-ce que je pourrais… heu… t’attacher ? me demande-t-elle.— Là, je dois dire que je suis un peu réticent.— J’comprends. Peux-tu alors garder tes mains au-dessus de la tête ? S’il te plait ?— Hein ?— J’aimerais prendre les commandes.— OK, OK. Je veux bien te laisser faire. Mais je ne sais absolument pas comment ça va se dérouler. Je ne peux pas te promettre de rester inactif. Je dispose les oreillers sous ma tête de manière à être le plus confortable possible. Je remonte les bras et attrape la tête de lit. Je sens la forme qui remue à côté de moi. Elle bouge tel un félin, sort de sous les draps, et vient se placer tout contre moi, posant la tête sur mon torse. Elle ne bouge plus pendant quelques secondes. Puis je sens sa main sur mon torse. Elle l’a posée à plat. Plus de mouvement. Elle « avance » pas à pas, très lentement. Et je n’ai pas envie de trop la bousculer. Sa main me caresse à présent le torse. C’est escargotique, on n’y arrivera jamais comme ça ! Et puis, sans trop de précipitation mais avec ...