Un employé aigri
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
complexe,
vengeance,
pénétratio,
amourcach,
... une certaine détermination, elle déboutonne ma chemise, tire sur les pans pour la faire sortir de mon pantalon. Ses caresses reprennent. Toujours avec le plat de la main. Je ne suis pas bâti comme un gladiateur… mais bon, je fais tout de même un peu de jogging de temps en temps. Je suis plutôt flatté qu’elle me touche de cette manière. Un nouvel arrêt. Et celui-ci est long. Trop long… — Peux-tu t’occuper de moi ? dit-elle. J’aimerais que tu poses tes mains sur moi. Sa tête étant restée à la même place, je me contente de simplement poser une main délicate dessus. J’agite les doigts négligemment. Je m’approche de son oreille, pars sur la mâchoire, je passe par la joue, sur le nez et descends sur les lèvres. C’est à ce moment qu’elle attrape ma main et m’embrasse le creux de la paume. C’est un signe d’affection que je n’ai pas l’habitude d’avoir. Il y a quelqu’un qui fait attention à moi. MOI. C’est doux, c’est chaud. J’ai dans les bras une femme qui me porte de l’intérêt. Je crois bien que cela ne m’est jamais arrivé ! Elle libère ma main qui en profite pour tomber négligemment sur son épaule. Le contact avec la soie me grise quelque peu. Je remonte légèrement vers le cou pour trouver une ouverture dans la chemise. Pfffffffffff. Que de patientes acrobaties ! Sous la chemise, je cherche l’épaule. Je ne voudrais pas passer pour un goujat et m’attaquer tout de suite à des parties plus intimes de son anatomie. Nouvelle surprise. Elle agrippe ma main et la pose, la presse plutôt, ...
... sur son sein. Sa chemise est largement ouverte. Elle l’a déboutonnée sans que je m’en rende compte. Je cajole donc son sein. Il n’est ni gros, ni petit, mais ferme et diablement doux. À mes yeux, c’est parfait. J’essaie de lui faire comprendre, par mes gestes, que j’aimerais me dégager. Visiblement, elle ne veut pas, puisque je ressens une pression un peu plus importante sur ma main, comme si elle ne voulait pas que cela s’arrête. De mon autre main, je me lance. J’effleure à nouveau son visage, je me rapproche de la nuque et la caresse. Elle se laisse faire et sa respiration se fait un peu plus profonde. Ses attouchements continuent. Autant, tout à l’heure, elle se contentait de me frôler, autant maintenant elle va nettement plus loin. Et je suis étonné par sa fougue. Elle défait ma ceinture. Déjà ? Merde, ça va nettement plus vite maintenant. Mon pantalon s’ouvre sous ses doigts. Je n’en peux plus de rester statique. J’aimerais prendre le dessus. D’un léger mouvement de hanche, je la pousse un peu sur le côté, et j’essaie de faire passer une jambe par-dessus, mais elle bloque mon mouvement. Elle m’attrape les poignets et me replace les bras vers le haut. C’est elle qui se place sur moi, à califourchon, ses fesses juste au-dessus de mon bassin. Ses cheveux pendent, comme un rideau… et me chatouillent un peu le visage. Et j’ai une vue imprenable sur sa poitrine. L’étonnement passé, je redresse un peu la tête et embrasse un sein. Quel délice ! Catherine ne bouge pratiquement ...