Un employé aigri
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
complexe,
vengeance,
pénétratio,
amourcach,
... vers elle et je note, amusé, que je n’ai jamais eu autant de contacts physiques avec qui que ce soit. Après avoir repris mes esprits, je me défais de mon pantalon et du reste qui étaient bêtement restés au niveau des cuisses. J’enlève également ma chemise et, dans le mouvement, je me tourne vers elle. J’entreprends de la déshabiller, avec une certaine lenteur. Une fois nue, elle attrape elle-même la tête de lit. Je lui caresse les bras, les aisselles. Je m’occupe ensuite de ses seins, dont les pointes durcissent. Elle se tortille… — Jean, prends-moi, maintenant !— Tu es sûre ?— Oui, viens. Vite. Bon ! Ben… puisque je n’ai pas d’autre choix… Je me place au-dessus d’elle, lui attrape les jambes, les remonte pour me faciliter l’accès. Je dirige, avec la main, mon membre vers son antre. Le bout gonflé, dur, touche à peine ses grandes lèvres que Catherine a un léger sursaut. Elle me sourit, m’attrape la nuque et me susurre : — Entre, s’il te plait. Je ne l’écoute pas. Je ne peux pas m’empêcher de parcourir sa fente trempée avec mon gland. Plusieurs fois, je fais le trajet entre le clitoris et le périnée. Cela nous fait du bien à tous les deux puisque je l’entends soupirer d’aise. Et moi, ça m’excite terriblement. Ensuite, avec délicatesse, je la pénètre. Volupté. Et je guette sa réaction. Elle ferme les yeux, comme si elle voulait se concentrer sur les sensations. Ma verge glisse littéralement jusqu’à la garde. Je ne remue plus un cil. Elle tire la tête en arrière, et, n’en ayant ...
... pas assez sans doute, commence à bouger le bassin. Posément, je fais sortir mon sexe du sien, et je me délecte de cette sensation. J’y retourne avec la même paresse. Je m’enfonce le plus profondément possible, jusqu’à ce que nos pubis soient en contact. Mes allées et venues sont lentes, lascives. Et je garde les yeux sur ce sexe qui entre et qui sort avec lenteur. Sensualité sexuelle orgasmique. Jusqu’à ce que ses mains se plaquent sur mes fesses, jusqu’à ce qu’elle me fasse comprendre qu’il est temps d’accélérer le mouvement. Je m’active lentement, les coups de boutoir sont un peu plus rapides. Je me hâte doucement, mon excitation grandit. Mais ses mains sur mon cul me poussent à être plus audacieux, plus vif dans mes mouvements, jusqu’à… ce que… j’explose… Un orgasme très long et très intense me traverse tout le corps. Bonté divine. Je prends mon pied. Un plaisir sans nom. — o0°0o— Je me réveille. La chambre est dans la pénombre complète. Je ne me souvenais pas qu’il fît si sombre. J’essaie de remuer mais…. Que ? J’ai les bras et les jambes entravés ! Impossible de bouger. J’ai beau me démener, rien à faire. Une espèce de bruit d’eau qui coule me parvient, ainsi que des chants d’oiseaux. J’essaie d’appeler, mais aucun son ne sort de ma bouche. Elle est trop sèche. Je ne comprends rien. Que se passe-t-il ? Une porte s’ouvre et la lumière entre dans la pièce. Je ne suis pas chez Catherine. Mes poignets et mes chevilles sont attachés avec des sangles de contention. Je vois un ...