1. Jeu dangereux au Maroc


    Datte: 08/04/2019, Catégories: fh, ff, uniforme, fépilée, vacances, voyage, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fist, pénétratio,

    ... être raciste, marcher au milieu d’une foule de Maghrébins pour une fille élevée à CNN, ça met pas à l’aise pour ce genre de défi. Mais c’est vrai que tous les Marocains à qui on a eu affaire étaient charmants, gentils… Je lui lance en me levant : — Il faut que j’aille aux toilettes.— Tu vas le faire ?— Chut ! Tais-toi donc, tu verras bien. Je vais aux toilettes et en profite pour retirer ma culotte. J’hésite un instant, après tout quand le vin est tiré… Je retire mon soutien-gorge également. Je laisse retomber le tissu sur mes chevilles et sors de mon WC. Je me regarde dans le miroir, surprise. Est-ce moi ce visage encadré d’un voile, cette femme recouverte de ce tissu léger ? Je bouge un peu, balançant les hanches et les épaules pour voir l’effet. Oui mes seins tracent une petite marque mais vraiment, on ne voit rien. Je remonte et rejoins mon mari. — Je sais que tu l’as fait !— Arrête ! Ça se voit ?— Tes seins ne sont pas gros mais d’une totale impertinence. On ne voit rien, rassure-toi. Mais je sais qu’ils sont libres, n’importe quel homme aimant les femmes le ressentirait… mais vraiment, on ne voit rien ! Et j’imagine que si tu l’as fait pour le haut, ton petit trésor doit être libéré lui aussi. Je lui tends mon sac à main ouvert. Il y trouve ce qu’il cherche. — Tu es géniale ! J’adorerais te prendre quelque part dans le coin.— T’es dingue on n’est pas à Amsterdam, ici ! C’est peut-être pas Kaboul mais on se retrouve en taule pour bien moins que ça. Contente-toi de ça, ...
    ... chauffe-toi bien et tu me paieras tout ça en rentrant ! S’ensuit une après-midi très sympa de promenade et de visite. Main dans la main, et souvent son bras autour de ma taille… Quelquefois sa main descend un peu, discrète sur ma hanche, comme pour s’assurer de temps à autre que je suis bien toujours nue sous ma djellaba si fine. Arrivés à l’hôtel, nous sommes chauds-bouillants tous les deux. Ascenseur : nous y sommes seuls ; direction sixième étage. Mon mari se jette à mes pieds, à genoux ; il me remonte ma djellaba jusqu’au ventre et plonge sa bouge sur ma fontaine. Le contact de ses lèvres sur les miennes, sur mon bouton surexcité, provoque en moi un mini orgasme, immédiat, comme si on m’avait planté un gode électrifié ! Je lui ai planté mes ongles dans le crâne. Labouré le cuir chevelu. Mais ça va trop vite, l’ascenseur ralentit. Je le repousse et redescends ma « robe ». La suite se déroule naturellement dans notre chambre. La baie vitrée grand ouverte, il me prend sur l’un des deux fauteuils, exhibée aux éventuels voyeurs… Mais au sixième il y en a peu. Notre vis-à-vis est à deux cents mètres au moins. Sentiment d’irresponsabilité plaisante. Qu’ils en profitent s’ils peuvent, moi je compte bien en profiter. Il me fait la totale, mais nous faisons souvent le tour de mes capacités avant de nous écrouler. Il me prend ainsi, tantôt en levrette, tantôt assise sur lui les seins au soleil. Nue à l’exception du foulard qu’il a voulu que je garde. Un fantasme qu’il avait oublié de ...