Jeu dangereux au Maroc
Datte: 08/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
uniforme,
fépilée,
vacances,
voyage,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
facial,
Oral
fist,
pénétratio,
... de mes jambes. Là encore, pas de contact direct. Rétrospectivement j’en éprouve un sentiment de déception, sur le moment j’étais décomposée. Puis elle me demande de me retourner (je ne peux éviter de penser d’un éclair à mon mari« tourne-toi » me dit-il souvent quand il veut me prendre autrement). Je me retrouve face aux touristes qui semblent au spectacle. Mes seins pointant maintenant outrageusement tant ils sont sensibles et se fichent de mon angoisse (je ne contrôle rien, là). Ses mains glissent dans mon dos et descendent vers mes fesses. « Elle ne va pas me prendre comme ça quand même ! » me dit mon esprit que je ne contrôle pas plus que le reste. Non, j’attends, inquiète, mais rien ne se passe. — Merci madame, vous pouvez y aller. Je récupère mon sac à main et remarque que la fliquette va dire quelque chose à son collègue. Il a une réaction suivie d’un sourire contenu… On nous laisse passer. Je souffle, j’ai les jambes qui tremblent, mon mari me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement. Puis rajoute comme le goujat qu’il sait être parfois : — Alors ma coquine, on se fait caresser par des inconnues ? Et devant tout le monde ? Et puis tu ne m’avais pas dit que tu étais bi ? Ça va te coûter cher toutes ces cachoteries.— Espèce de salaud ! lui dis-je en lui donnant une tape bien trop légère pour paraître sincère. Il a encore gagné. On va s’asseoir en salle d’embarquement. Une fois revenue au calme, mon esprit ne peut se détacher de cette fouille. J’y pense sans cesse et ...
... je me prends à délirer complètement. Je revois le flic et son demi-sourire. Non il ne sourit pas, c’est un rictus. — Madame, veuillez nous suivre s’il vous plait. Mon mari s’inquiète. — Rassurez-vous : contrôle de routine, on en a pour cinq minutes. Une autre policière arrive, elle est splendide. Je déraille complètement, je suis hétéro, juste hétéro et je n’aime pas les filles. Elle m’emmène dans un local et me demande de me déshabiller. J’ai failli dire « complètement » mais non c’est ridicule, je n’ai que ça. Je défais mon foulard et libère mes longs cheveux blonds que le soleil a encore éclaircis. Puis, soumise, retire ma djellaba. — Allongez-vous. Je m’allonge sur le dos, totalement offerte à cette femme. — Transportez-vous de la drogue ? me demande-t-elle.— Mais non voyons où voulez vous que je la mette ?— Pas d’ingestion ? dit-elle en enfilant des gants stériles (je prends peur). Elle commence alors à me palper l’abdomen. — Rassurez-vous je suis médecin (ça me rassure pas). L’examen est bon je n’ai rien « ingéré ». — Tournez-vous ! Encore ! Ça devient une habitude de me confondre avec une crêpe bretonne ! — Mettez-vous à quatre pattes, ne vous inquiétez pas, je ne vous ferai pas mal. Je sens quelque chose de froid sur mon anus, je sens quelque chose qui rentre, elle m’a mis son doigt ! Il me fouille, il cherche. — OK, là ça va aussi, ne bougez pas. Je reste ainsi comme une chienne offerte et humiliée. Rien ne m’oblige à rêver cette humiliation mais mon esprit m’emmène ...