1. Jeu dangereux au Maroc


    Datte: 08/04/2019, Catégories: fh, ff, uniforme, fépilée, vacances, voyage, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, facial, Oral fist, pénétratio,

    ... m’avouer. Et pour en finir, il m’offre enfin mon péché mignon, ce plaisir si particulier de sentir toute la puissance et la virilité de son homme fondre comme un bonbon fourré entre nos lèvres. Le sentir si fragile à cet instant. Se sentir si puissante à cet instant. Alors que je sais qu’il ne va pas tarder à fondre pour moi, en moi, ce goujat se retire et, d’un ou deux coups de poignet, se répand sur mon visage, comme dans ces mauvais films X pour mâles en manque de femme. Je le rattrape immédiatement pour ne pas perdre tout et de longs jaillissements de vie viennent me rassurer. Et Dieu que c’est bon ! Un ange passe ! Lorsque je vais me rincer, appréciant peu quand l’élixir de vie se pétrifie sur mon visage et semble faire craqueler ma peau, comme si j’étais vieille et sèche, lorsque donc je me trouve face à mon image devant le miroir, je vois un long trait blanc qui s’étire de ma joue jusque sur le foulard sombre. Je comprends soudain son fantasme, enfin peut-être, mon visage sous ce voile me fait paraître tellement virginale et pure… -[]-[]-[]- Le surlendemain, aéroport de Casablanca, vol intérieur pour Agadir. Notre deuxième semaine de vacances. J’ai pris goût à ma tenue, nous en avons acheté une deuxième pour le change. J’adore. L’enregistrement est fait, nous n’avons qu’un petit bagage à main. Nous nous dirigeons vers la porte d’embarquement. Mon dieu ! Même dans les vols intérieurs il y a les contrôles des flics. J’avais oublié. Je n’ai rien à me reprocher, je n’ai ...
    ... même rien à déclarer, justement, je n’ai rien d’autre que ce (grand) bout de tissu sur moi, et toujours mon foulard. Je commence à paniquer. Le calme et le petit sourire de mon goujat de mari laissent à penser qu’il n’est pas surpris et qu’il m’a laissée me préparer en sachant ce qui allait se passer. — Ne t’inquiète donc pas, le portique ne va pas sonner avec ce que tu as sur toi.— Et s’il sonne quand même ? m’inquiété-je.— Pourquoi voudrais-tu qu’il sonne ? Tu n’as pas mis ton œuf vibrant quand même ?— Mais non idiot, je te l’aurais dit, et c’est toi qui monopolises la télécommande, je sais même pas où elle est. C’est notre tour. Mon mari passe, ça ne sonne pas. Ouf ! — Monsieur s’il vous plait, dit le flic en demandant à mon mari d’écarter les bras. Il passe ses mains partout… Mon Dieu, merde, zut, je vais faire demi-tour. — Madame s’il vous plait, avancez. Terrifiée j’avance, sûre qu’avec le stress que j’affiche je suis une candidate idéale ! Quelle conne je fais ! Une policière s’adresse à moi : — Vous pouvez écarter les bras s’il vous plait ? Oh la la ! Ses mains se posent sur mon cou puis descendent le long de mes bras. Elles se posent sur ma gorge et descendent, évitent à peine les seins mais en en épousant le contour, insistant sur ce qui aurait dû être la base du soutien-gorge. Ses mains passent sur mon ventre puis descendent encore. N’ayant de guide que mes formes, elles viennent se positionner en haut de mon pubis, glissent dans le creux de l’aine pour aller le long ...