Weekend en famille
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Mes parents, ces deux vieux bourges condescendants, n’avaient jamais accepté ma relation avec Pierre. Selon eux, cet homme n’avait aucun avenir et, de fait, moi non plus si je persistais à vouloir faire ma vie avec lui. Ma sœur ainée était du même avis qu’eux. Je les voyais le moins possible, et toujours seule. Pierre ne m’accompagnait jamais lorsque j’allais chez eux. De toute façon, il n’était pas invité. Du coup, j’avais été quelque peu surprise quand ma mère m’avait appelé pour nous inviter, Pierre et moi, à passer un weekend dans la maison secondaire de la famille, dans le Sud de la France. Elle m’apprit que Clarisse, ma sœur, et son mari, Fabien, seraient également présents. L’idée m’emballa tout de suite, même si j’étais sûre qu’il y aurait une ou deux prises de tête au cours du weekend. Il suffirait d’éviter ma famille au maximum. J’avais trop envie de profiter de la chaleur, du sable fin, de mon homme dans ce superbe paysage. Pierre, lui, rechignait mais, à force de persuasion, je finis par le convaincre en lui promettant mille et unes parties de baises dès notre retour. Nous sommes arrivés les derniers, en soirée, tant Pierre s’était mis à rouler de plus en plus lentement au fur et à mesure qu’on s’approchait de la maison familiale. Il gara la voiture à côté de celle de mes parents et de celle de mon beau-frère. De grosses berlines, bien sûr. Personne n’est sorti de la maison pour nous accueillir. Pourtant, j’étais persuadée qu’ils nous avaient entendu arriver. - ...
... Ils ont besoin d’une grosse caisse pour oublier le fait qu’ils ont une queue ridicule ou quoi ? a grogné Pierre en tripotant nerveusement le volant. J’ai gardé le silence en essayant de cacher mon sourire. Pour avoir vu Fabien en maillot de bain à plusieurs reprises, je savais qu’il en avait une grosse, même au repos. - Détends-toi mon chéri, j’ai fini par dire. Pense à toutes ces parties de baises que je t’ai promises. En le regardant d’un air lascif, j’ai quelque peu écarté les cuisses sur le siège de la voiture. Le bas de ma robe est doucement remonté pour dévoiler ma chatte épilée et entièrement nue. - Salope, t’as pas mis de culotte ! Si tu crois que je vais attendre d’être rentré chez nous pour te prendre, tu te trompes. Et si ta connasse de mère ne nous regardait pas en ce moment, je le ferai tout de suite. Il a terminé sa tirade en me donnant une tape sur la chatte. Ça m’a envoyé une décharge de plaisir dans tout mon corps. J’ai regardé à travers le pare-brise. Ma mère nous observait par la porte d’entrée qu’elle venait d’ouvrir. - Putain, je devrais le faire justement quand elle regarde. Au moins, elle verrait ce que c’est de se faire baiser bien comme il faut, à défaut de le vivre. Il a subitement enfoncé un doigt dans ma chatte moite de mouille. Putain, c’était bon. Je me suis efforcée de ne pas pousser de cris et, surtout, de conserver un visage neutre. C’était peine perdue quand Pierre a mis un deuxième doigt et a commencé à me les enfoncer avec rapidité et force. ...