1. Weekend en famille


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... Je me suis mise à haleter, la bouche ouverte et la tête renversée en arrière. Je me suis laissée aller, incapable de résister. - Mais c’est qu’elle regarde, la pute, constata Pierre. Je me suis redressé un peu pour voir. Ma mère était en effet en train de nous observer. J’ai repoussé la main de Pierre. Il a grogné. - J’ai envie de te baiser, s’est-il plaint. En effet, il bandait dur à travers son jean. - Si tu es sage aujourd’hui, je te sucerai ce soir. Il a réfléchi un instant puis a hoché la tête. J’ai resserré les cuisses en essayant d’oublier la moiteur qui perlait de ma chatte, puis je suis sortie de la voiture, un sourire faux cul accroché aux lèvres. Au regard noir que me lança ma chère mère, j’ai su qu’elle avait bien compris ce qu’il s’était passé dans la voiture. Eh bien, elle avait qu’à ne pas regarder ! Après avoir coincé sa bite toute dure avec l’élastique de son boxer, Pierre me rejoignit. Ma mère lui a vaguement dit bonjour en le détaillant des pieds à la tête, s’attardant un instant sur son érection qui était tout de même bien visible. On est entré dans la maison. Mon père, Fabien et Clarisse étaient déjà attablés pour le diner. Le repas a été des plus chiants et des plus longs. Critiques répétées, conseils faussement gentils, regards méprisants… Quand j’avais senti que Pierre était prêt à les envoyer bouler, j’ai glissé la main sur sa cuisse, sous la table, puis je suis venue caresser sa grosse queue. Ça l’a immédiatement détendu. Enfin, disons qu’il était ...
    ... plus relax mais que sa bite, elle, était bien raide. Dès que le repas a été terminé, on est directement monté dans notre chambre. Celle de mes parents se trouvait juste à côté et celle de ma sœur et son compagnon, en face. Pierre s’est tout de suite jeté sur moi, le regard noir de colère et de désir. Apparemment, il n’avait pas apprécié être rabaissé constamment par ma famille pendant les trois heures qu’avait duré le diner. J’ai senti que c’était moi qui allais en payer le prix. Rien qu’en y pensant, ma chatte s’est remise à couler. Pierre m’a poussé violemment contre le mur, ce qui a provoqué un tremblement dans toute la cloison. - Chut, fais moins de bruit, lui ai-je dit. Mes parents vont nous entendre. - J’espère bien qu’ils vont nous entendre, ces gros coincés. Je veux qu’ils sachent exactement ce que je suis en train de faire à leur fifille chérie. Il m’a retiré ma robe en quelques gestes empressés, manquant de la déchirer de peu. Collant son bassin et donc son érection contre moi, Pierre a pincé mes tétons, déjà dressés par l’excitation. J’ai laissé échapper un petit cri, ce qui a fait rire Pierre. - Ça te plait de savoir qu’on nous entend, on dirait. Je suis restée silencieuse, sachant qu’il était inutile de nier. Mon corps parlait pour moi. J’étais en train d’onduler des hanches pour frotter mon clitoris gonflé et brulant de désir contre le jean rugueux de Pierre. - Dis-le, que tu aimes ça, petite salope. - Oui, j’aime ça, j’ai répété en chuchotant. J’ai vu au regard ...