1. Weekend en famille


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de Pierre qu’il n’était pas content de moi. Il voulait m’entendre le dire plus fort. Mais il n’a pas insisté. Il m’a forcé à m’agenouiller et a sorti sa bite. Elle sentait bon le sexe. Ça m’a direct fait saliver. - Je vais te remplir la bouche, comme ça, tu n’auras pas à parler puis que visiblement, tu as peur qu’on t’entende. C’était clairement une critique. Il m’a mis une petite gifle du bout des doigts. J’ai souri. J’adorai quand il passait en mode mâle alpha, contrôlant et violent. - Putain, tu souris comme une grosse salope. - Sans doute parce que j’en suis une, n’ai-je pu m’empêcher de le provoquer. - Ta gueule ! A ces mots, il a attrapé le bas de mon visage entre son pouce et son index et m’a forcé à ouvrir la bouche. Puis, il a enfoncé sa grosse queue odorante et toute chaude dans ma bouche, bien au fond. Il ne m’a même pas laissé le temps de m’habituer à sa grosseur qu’il a commencé à me pilonner comme il l’aurait fait dans ma chatte. J’avais du mal à respirer, je suffoquais à moitié, je bavais abondamment mais j’adorais ça. Sa bite tapait dans ma gorge, m’arrachant de petits hauts le cœur qui ont fait ricaner Pierre. - Tu m’as forcé à venir ici, maintenant, tu vas le regretter ! a-t-il dit en me mettant une deuxième gifle. Il a retiré sa bite et m’a craché dans la bouche qui était toujours ouverte. Puis, il a recommencé à me baiser la bouche, encore plus vite et plus fort. J’étais tant excitée que je n’ai pas pu résister à l’envie de me caresser la chatte. J’ai ...
    ... glissé une main entre mes cuisses et j’ai commencé à faire des cercles sur mon clito, en appuyant bien fort comme j’aimais. Pierre l’a vu. Il a lâché ma tête et m’a relevé. Mes jambes ont flageolé. Il m’a jeté sur le lit. Tremblante de désir, je l’ai regardé se déshabiller entièrement. Ces abdominaux, parfaitement dessiné, m’ont arraché un souffle de satisfaction. Ce mec, en plus d’être un dieu du sexe, était magnifique. Puis, Pierre m’a retourné sans ménagement pour me mettre à quatre pattes au pied du lit. Une fessée s’est abattu sur mon cul. - Aie ! Mon cri était entre le gémissement de douleur et de plaisir. - Ferme-la, salope ! Je croyais que tu voulais pas que papa et maman nous entendent. Lui-même parlait fort. De toute façon, je m’en foutais qu’on m’entende ou non. J’avais juste envie d’être baiser, le reste ne m’importait plus. - Baise-moi, l’ai-je supplié. Baise-moi je t’en prie. - Tu es vraiment une chienne hein ? Une chiennasse qui veut prouver à maman et papa qu’elle n’est plus une petite fille, je me trompe ? - Tu as raison. Je suis une chienne, une salope, une suceuse de bite et je veux qu’ils le sachent. Nouvelle claque sur mon cul. Très forte celle-ci. Mon cul allait être bien marqué, j’en étais sûre. Puis, j’ai senti quelque chose à l’entrée de mon vagin tout dégoulinant. Pierre a frotté son gros gland turgescent contre ma fente avant de s’enfoncer entièrement en moi, d’une seule poussée bien puissante. Ça m’a provoqué une brulure vive, entre douleur et plaisir. ...