1. La rencontre avec mon Maître & Rêves de stupre


    Datte: 09/04/2019, Catégories: f, fh, hplusag, inconnu, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fdanus, init, journal, ecriv_f,

    Ma famille est catholique pratiquante. Mon père est chirurgien, ma mère s’occupe de gérer notre vie, familiale et sociale. J’ai grandi dans ce milieu, qui ne manque de rien, sauf de fantaisie. Ma vie s’écoulait conformément à ce qu’on attendait de moi. J’étais sage, vierge, bien sûr. Et un jour… Mes parents ont décidé de rénover l’électricité de leur maison de campagne. J’y séjournais, avec ma mère, pour les vacances. J’avais 19 ans. L’électricien qui était chargé de ce travail était employé depuis peu dans l’entreprise du coin. Ma mère se méfiait un peu, car il n’allait pas à l’église, mais mon père avait tranché. La première fois qu’il est venu à la maison, j’étais avec ma mère. Il n’aurait pas été convenable qu’elle le reçoive seule. Il avait la quarantaine, grand, les cheveux très bruns, coupés courts, et des yeux noirs très calmes, très francs. Il était assis à la table de la cuisine. Il répondait calmement aux questions de ma mère, sans sembler s’étonner de sa méfiance. Elle a terminé son déluge de questions, et il a expliqué simplement ce qu’il comptait faire. Quand il est parti, le téléphone a sonné, et ma mère m’a demandé de le raccompagner à la porte. Quand j’ai voulu refermer le battant sur lui, il a mis son pied pour bloquer la porte, et il m’a regardée, des pieds à la tête. Je portais, comme la plupart du temps, une jupe et un chemisier. Je me suis sentie rougir sous son regard. J’avais l’impression que mes seins gonflaient, et j’avais le ventre en feu. ...
    ... Personne ne m’avait jamais regardée comme ça. Il a souri, d’un air un peu moqueur, et il est parti. Le soir, j’ai eu du mal à dormir. Je revoyais cet homme, assis, calme, dans la cuisine, répondant sans sourciller aux questions inquisitrices de ma mère. Et puis je sentais ses yeux sur moi, comme des lames de feu. Le drap pesait sur ma poitrine, le tissu agaçait la pointe de mes seins. Je les ai touchés, du bout des doigts. Je les ai pris dans mes paumes, je les ai massés. Puis j’ai posé ma main sur mon sexe. Le majeur a glissé entre mes lèvres mouillées. J’imaginais les mains de l’ouvrier, la sensation de ses doigts sur ma chatte, et j’ai passé les miens le long de ma fente humide. Sans bruit, retenant mes gémissements, j’ai tourné avec mon index et mon majeur autour de mon clitoris. Ma chatte était en feu. J’avais envie que cet homme si troublant soit là, près de moi. Je fermais les yeux, et je l’imaginais, debout près de mon lit. Mon corps brûlait. Je rabattis le drap, perdue dans mon rêve éveillé. Je l’imaginais me regardant, et j’ouvrais mes jambes vers lui, ma main s’activant sur mon sexe. Je l’imaginais en train de me dire d’écarter les cuisses encore plus, pour exposer ma chatte ouverte et humide. Je voyais, dans ses yeux, mon corps trop gras, allongé, les jambes repliées de chaque côté de mes fesses, ma chatte bien écartée, et mes mains indécentes en train de me caresser. Je risquais un doigt vers mon anus. C’était bon, mais je n’osais pas le rentrer. Je me contentais de le ...
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