1. La rencontre avec mon Maître & Rêves de stupre


    Datte: 09/04/2019, Catégories: f, fh, hplusag, inconnu, gros(ses), grosseins, groscul, complexe, campagne, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fdanus, init, journal, ecriv_f,

    ... il m’a lâchée. Je me suis appuyée au lavabo pour ne pas tomber. Il a ri à nouveau, et il a dit : — Quand tu voudras, tu demandes… A mon avis, tu dois être une belle salope, si on sait te prendre. Je ne cherchais même plus à répondre, le souffle court, penchée sur le lavabo, appuyée, j’essayais de retrouver mes esprits. Il a ajouté : — Tu serais délicieuse à enculer, dans cette position. Comme je partais précipitamment, il dit : — Si tu ne veux pas, demande à ton père de me virer… La nuit, je ne parvenais toujours pas à dormir. Je m’étais déjà caressée deux fois, et je n’arrivais pas à éteindre le désir, l’envie d’être prise, d’être enculée, comme il avait dit. Je l’imaginais me courber davantage sur le lavabo, et relever complètement ma jupe, et baisser ma culotte, ses mots grossiers, insultants, résonnaient dans ma tête, je me sentais humiliée sous son regard, et j’aimais ça. Il était comme une clef qui me révélait que mes rêves honteux pouvaient trouver un écho dans la réalité. Il aurait suffit de si peu, pour qu’enfin je sois livrée à la pénétration, il aurait suffit qu’il le veuille. J’étais comme en rage, j’avais envie de hurler de frustration. J’avais envie de me punir de ne pas avoir osé m’offrir à lui, de ne pas avoir osé défier toute mon éducation, là, dans la maison de mes parents, la porte ouverte, enfin me révéler comme une traînée. Brusquement, j’enfonçais un doigt dans le trou de mon cul. C’était plus douloureux que je ne l’aurais cru. Je sentais l’entrée de ...
    ... mon cul irritée par ce contact inattendu. Et je goûtais voluptueusement cette brûlure. J’étais une traînée, je souffrais, mais au lieu de souffrir de frustration, je souffrais de plaisir. Tout mon majeur était enfoncé dans mon cul. Je caressais ma chatte avec l’autre main. Je n’osais toujours pas enfoncer mon doigt pour violer enfin cette virginité qui me pesait. Pour me punir d’être incapable d’accepter ma vraie nature de… salope… c’était son mot si cru, si violent, si délicieux… je portais ma main mouillée à mes seins, je me caressais, étalant ma mouille sur les mamelons. J’avais l’exquise sensation de me vautrer dans ma propre fange. Mon doigt allait et venait très vite dans mon cul, accentuant la sensation de brûlure. Mon pouce caressait le clitoris, mon index était replié contre ce trou que je n’osais pénétrer. Doucement, en souffles saccadés, je m’invectivais : « je suis une petite pute, tout ce que je veux, c’est me faire baiser, me faire défoncer les trous, je veux être un animal, je m’encule, je veux qu’il me voit me conduire comme une salope, je veux qu’il me force, qu’il m’humilie encore, encore… » Mes doigts se serrèrent fébrilement contre un téton, et je le pinçais, et je jouis ainsi, en serrant toujours plus fort mon téton, en enfonçant le plus loin possible le doigt dans mon cul. Mais je ne parvins pas à trouver un sommeil calme. Mes rêves étaient peuplés du regard de cet homme, de sa voix « salope, tu aimerais que je t’encule », je me voyais nue sur la place de ...