La rencontre avec mon Maître & Rêves de stupre
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
inconnu,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
complexe,
campagne,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
init,
journal,
ecriv_f,
... toucher parfois, comme par inadvertance. Je le sentais palpiter sous mon doigt, se resserrant sous l’effet de l’excitation. Je n’arrivais pas à me décider à faire pénétrer mon doigt. Je ne l’avais jamais osé. Je me contentais de me faire jouir honteusement, en caressant mes mamelons et mon clitoris, en passant mes doigts sur ma chatte en en rêvant qu’un jour, je mettrais mes doigts dans tous les trous, j’avais envie de m’enfoncer des objets, j’étais troublée par la simple vue d’un cierge. Mais j’étais vierge, et je ne voulais pas risquer qu’un jour on sache que j’avais été une mauvaise fille. Je me fis jouir comme ça, avec mes doigts qui voulaient s’enfoncer, et qui se contentaient de caresser. Même le plaisir était frustrant. Je tournais et je retournais dans mon lit, le corps en sueur, brûlante de désir, avec des rêves agités, me voyant, toujours sous le regard de cet électricien si troublant, m’imaginant me lever insolemment pendant la messe et aller le rejoindre, lui qui n’y allait pas, ou bien me déshabiller pendant la messe, et me coucher, nue dans l’allée, et me caresser comme une possédée, j’imaginais le regard choqué de mes parents, de mes voisins, découvrant enfin ma vraie nature de mauvaise fille. (La veille, j’ai rencontré l’ouvrier électricien engagé par mes parents. Mes rêves de la nuit avaient été agités, troublants, sauvages, honteux.) Le lendemain matin, il a commencé son travail. Je comptais bien l’éviter soigneusement, les rêves demi-éveillés de la veille ...
... me rendaient toute honteuse. Mais à 10 heures, ma mère m’a demandé de lui porter un café. J’ai d’abord voulu refuser, mais ma mère n’aurait pas compris pourquoi. Je ne pouvais pas lui expliquer pourquoi. Je ne pouvais même pas me l’expliquer à moi-même. Et puis j’avais envie de le revoir. Même si son regard était presque humiliant d’acuité. Il travaillait dans la salle de bain du bas. Quand je suis entrée, il s’est arrêté, et il m’a regardée. Avec la même insolence que la veille. Je me sentais très rouge. Très nue, aussi, malgré mes vêtements sobres. J’avais toujours pensé que mes rondeurs me mettaient à l’abri d’un tel regard. Je n’avais jamais réalisé avec cette intensité à quel point elles pouvaient sembler provocantes à un homme, même sous mes habits. J’ai bafouillé quelque chose au sujet de la tasse de café que je tenais dans la main. Il m’a remerciée, les yeux fixés sur mes seins, il a pris la tasse, en effleurant mon poignet, et a planté son regard dans mes yeux. J’ai tremblé, et du café s’est renversé sur mon chemisier. Il a ri franchement, et il a dit : — Mademoiselle serait-elle pucelle ? La colère a commencé à monter, j’allais le remettre vertement à sa place, et soudain, il s’est approché de moi. Avant que je puisse bouger, sa main était passée sous ma jupe. Je sentais un doigt pressant contre ma culotte. J’étais en déséquilibre, contre son épaule, et dans un souffle calme, à mon oreille, il a murmuré : — Je pourrais arranger cela… Et puis tout aussi brusquement, ...