1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (4)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Trash,

    Epuisée, Mélanie se laissa glisser jusqu’à être en chien de fusil contre la table basse, respirant lourdement. Le visage rouge et souillé de salive, elle tenta de reprendre ses esprits. Ses fesses étaient particulièrement douloureuses, sa gorge comme son anus étaient très sensibles ; elle resta prostrée, se sentant trop fatiguée pour se lever et aller se doucher. Les deux hommes s’étaient rhabillés ; assis dans des fauteuils, un verre à la main, ils regardaient un match de foot à la télé sans plus s’occuper d’elle. La jeune fille se releva en grimaçant et fila sans demander son reste. Après une douche revigorante, elle badigeonna ses fesses d’onguent apaisant puis s’enveloppa dans une serviette de bain pour revenir dans le séjour. Lenoir l’aperçut alors et entra dans une rage folle. — Cette serviette n’est pas pour toi ! Petite salope, tu mériterais une nouvelle correction ! — Pardon, Monsieur, je ne savais pas… Ne me battez pas, s’il vous plaît ! — Tu dormiras dans la cave cette nuit. Avec la ceinture et les trous remplis, tu feras moins la maligne ! Mélanie avait tendu la serviette à Lenoir et pleurnichait, horrifiée par la punition qui se profilait. Les deux hommes ricanèrent et trinquèrent bruyamment, ravis de la déconfiture de la blondinette qui se courbait en se tordant les mains. Mais elle n’osa pas protester, préférant être humiliée et battue plutôt que de se rhabiller et de fuir cette maison. — Le temps que le match finisse, tu vas te mettre à genoux face à la télé, ...
    ... le visage posé au sol… Bien. Tu ouvres les cuisses au maxi, bien cambrée. Tu prends tes fesses et tu les écartes pour montrer tes trous de pute. Et tu tournes la tête vers nous, tu ouvres la bouche et tu tires la langue. Pour toi, ce sera la position numéro deux. — Décale-toi un peu que je voie ton visage, ajouta Freddy. Et ouvre plus la bouche, là ! Mélanie resta une heure en position, complètement obscène, offerte aux deux vicieux. Elle pleura de honte au début, mais bien vite, au-delà de l’inconfort croissant dû à sa position, son ventre devint liquide et sa poitrine lourde. Dans sa position, ses tétons étaient écrasés sur le carrelage et elle remua malgré elle pour les frotter et les exciter. Hélas, Freddy s’en aperçut à la fin du match et vint vérifier son état en plongeant trois doigts joints dans son vagin trempé. Démasquée, Mélanie poussa un cri de détresse. — Arnaud, cette petite est une vraie chienne : elle dégouline de partout ! Tu devrais la menotter cette nuit, sinon elle va la passer à se doigter ! — Tu as raison. Nous y allons ; Freddy, tu prends l’assiette de pâtes et la gamelle d’eau dans la cuisine ; et toi, tu te lèves, et vite ! Tête baissée et les oreilles brûlantes de honte, Mélanie suivit les deux hommes à la cave. Lenoir lui désigna une porte métallique qu’elle ouvrit, donnant sur un réduit vide, sol et béton rugueux et murs d’agglos, éclairé par deux tubes néon. Pas de fenêtre bien sûr, juste un minuscule soupirail tout en haut qui aérait à peine la ...
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