Mélanie, étudiante à Bordeaux (4)
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
Trash,
... petite pièce sentant le moisi et le renfermé. Mélanie, apeurée, se tourna vers les deux hommes. — Vous voulez que je dorme ici ? C’est vrai ? Je vous en prie, Monsieur... — J’ai un petit matelas ; je vais te l’apporter ici. Mais oui, tu dormiras ici chaque fois que tu seras punie. À toi de faire que ça n’arrive pas souvent. Dépitée, la blondinette baissa la tête, les yeux pleins de larmes. Quelque chose lui disait que monsieur Lenoir serait très exigeant et qu’elle fréquenterait souvent la cave. Il revint avec un vieux matelas étroit et mince qu’il jeta sur le béton, puis il fixa Mélanie, qui comprit le message. — Merci, Monsieur, marmonna-t-elle en faisant la moue. — J’ai oublié la ceinture, Freddy ; je remonte. Pose sa bouffe dans un coin et mets-lui les menottes. Quand ils enfermèrent Mélanie, elle pleurnichait à cause de l’humiliation, de la gêne et de la douleur causée par la présence de deux gros godes dans ses orifices. La ceinture de chasteté, en cuir noir souple et fine armature de métal, était fermée par un gros cadenas sur l’avant et maintenait les deux épais cylindres dans son vagin et son anus. Mélanie, debout au centre de son cachot, le parcourut d’un regard misérable. Un seau en plastique pour ses besoins, l’assiette de pâtes froides, et une grosse gamelle en métal remplie d’eau : voilà tout ce qui le meublait, en sus du petit matelas et d’une couverture militaire. Elle mangea accroupie devant l’assiette, incapable de s’aider de ses mains ; elle se dépêcha ...
... car la lumière devait s’éteindre au bout de dix minutes. Elle lapa un peu d’eau et s’allongea sur le matelas, déprimée. Dans le noir, elle se repassa en boucle sa déchéance soudaine, son acceptation aussi, sa soumission totale à son propriétaire. Et glissa lentement dans un sommeil peuplé de songes érotiques. Lenoir la fit sortir au matin. Elle était épuisée et il dut l’aider à gravir les marches. Dans la salle de bain, il la libéra des menottes comme de la ceinture et des godes, dont l’extraction lui arracha quelques cris. Son anus resta béant, et l’homme en profita en sodomisant brutalement Mélanie. Excité, il la défonça à grand coups de boutoir qui tirèrent quelques larmes, des gémissements et des soupirs à la blonde. Bien cambrée, offerte à ses violents assauts, elle était proche de l’orgasme lorsqu’il se vida en elle. Frustrée, elle lui adressa un regard lourd de reproches. Il se fâcha. — C’est pas vrai… Tu râles parce que tu n’as pas joui ? Elle baissa la tête, se sentant coupable soudain d’elle ne savait trop quoi. — Eh bien je t’interdis de jouir jusqu’à nouvel ordre, tu m’entends ? Tu n’es qu’une pute, et tu n’auras le droit de jouir que quand je te le dirai. Compris ? Compris ? Il hurlait presque à son oreille maintenant, et Mélanie eut peur. Elle ne put que hocher la tête sans oser lever les yeux sur lui. Il l’empoigna par la mâchoire inférieure, l’obligeant à lever la tête, et plongea ses yeux cruels dans les siens, brillants de larmes contenues. — Tu as compris ce ...