1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (4)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: Trash,

    ... que je t’ai dit ? — Oui, Monsieur. Je n’ai le droit de jouir que si vous m’y autorisez. — Bien. Mais méfie-toi : si j’apprends que tu m’as désobéi, ta punition sera terrible ! Elle hocha frénétiquement la tête quand il la libéra, n’ayant pas envie de susciter son courroux. Il se recula, se rajusta rapidement et lui laissa la cuisine pour le petit déjeuner. Taciturne et bourru, il lui annonça seulement : — Il est 9 heures ; on part à 10 heures piles. Sois prête ; j’ai posé sur ton lit ce que tu dois porter. — Oui, merci, Monsieur. Cette fois, elle se dépêcha pour être dans les temps. Elle savait qu’il ne lui laisserait rien passer, et son ventre se noua en songeant qu’il pouvait lui faire tout ce dont il avait envie sans qu’elle ait son mot à dire. La tenue posée sur le lit était une des trois robes, comme elle s’y attendait ; la rouge, cette fois. Pas de sous-vêtements : juste des escarpins noirs à talons aiguille. Mélanie se maquilla légèrement, rouge à lèvre et un peu de fond de teint sur ses pommettes, passa son vieux manteau, prit son sac à main et descendit rejoindre Lenoir trois minutes avant 10 heures. Il regarda sa montre et pinça ses lèvres, manifestement contrarié de la voir être ponctuelle. — Ce manteau est moche, mais il fait froid dehors. Alors je t’autorise à le porter ; je te trouverai autre chose de plus sexy. Et il te faut des bas aussi. Allez, c’est parti ; laisse ton sac, tu n’en auras pas besoin. Nous allons chez une amie qui tient un salon. Je te pose ...
    ... chez elle et je reviendrai te chercher quand elle aura fini. Mélanie s’abstint de poser des questions, devinant qu’il s’agissait d’une esthéticienne. Elle allait avoir droit à une épilation. « Contre services », se rappela-t-elle, en se doutant de ce qu’on allait lui demander. Lenoir eut du mal à se garer et ils durent marcher un peu. Le salon Aphrodite était situé dans un petit immeuble dédié à plusieurs activités commerciales : coiffure, cabines UV, kiné, bureaux. Lenoir embrassa la patronne, une superbe femme aux cheveux de jais et aux yeux verts, et lui désigna la jeune fille. — Voici Mélanie. Tu lui fais la totale, elle est poilue de partout. Et tu en fais ce que tu veux après. Quand tu en as assez, tu m’appelles. — Je lui fais une épilation définitive ? Parce que c’est bien plus cher. — Je préfère, oui. Tu en veux combien ? — Deux mille. Ou du cash. — Je te paierai en liquide ce que tu voudras. Je te la laisse. Mais elle a interdiction de jouir. Si elle désobéit, tu me le dis et elle sera punie. La femme acquiesça et il partit. L’épilation à la lumière pulsée dura longtemps, et à la sortie la peau claire de Mélanie était rouge, à la limite de la brûlure. Pubis, aisselles, bras et jambes. Une pommade apaisante rendit son épiderme luisant et souple, puis Mélanie rendit service. Elle lécha le minou épilé de la patronne et des trois employées, les menant à plusieurs orgasmes qui laissèrent son visage inondé de cyprine. Puis, sur l’ordre de la patronne, les employées coincèrent ...