1. Ménage à trois; la chair est faible


    Datte: 22/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    L’autre truie, Nora, la complice, la maîtresse, l’amante, la salope de gouine, la putain de ma femme sort de la chambre. Maudite soit-elle ! En vitesse, elle a enfilé une culotte et tente de fermer un soutien-gorge ramassé à la hâte. Ses seins sont trop volumineux et refusent de se laisser enfermer dans les bonnets de Louise. Il est trop tard, pourquoi cacher ce que je n’ai que trop vu : ces seins lourds et son sexe gonflé par les frottements des doigts ou les aspirations de la bouche sacrilège de ma femme. Je connais tout d’elle, je l’ai vue se tordre de plaisir dans toutes les positions, cul exposé, trou béant entre de grosses fesses pleines, seins écrasés sur l‘estomac de ma cochonne impudique, ventre ouvert sous les doigts fouilleurs de Louise, pattes en l’air, bras en tentacules pour emprisonner des cuisses animées des sursauts violents de la jouissance volée à Louise. Et sa chute de reins, et ses cuisses grasses, tout, j’ai tout détaillé, et c’est à peine si elle m’a fait bander, tant était grande ma déception de voir ma femme ainsi exploitée. Du coup ladite Nora balance la chose, le soutien-gorge de ma femme trop petit et elle descend à son tour, visage fermé, confuse, responsable et coupable, mais désolée pour l‘apparence plus qu‘en réalité sans doute. Car elle marque son territoire, affirme en étant découverte sa prééminence. Que lui importe le mari, le cocu, c’est elle qui occupait le lit conjugal, vibrait et faisait vibrer Louise. Qui niera qu’elle l’emporte ici? ...
    ... D’ailleurs en l’appelant au secours Louise a confirmé toute l’importance de leur relation. Sa poitrine nue et lourde ballotte au gré des marches, Elle essaie de me saluer en guettant mes réactions. J’ai trop mal au pied pour entamer une diatribe. À cloche-pied, soutenu par deux femmes nues ou presque, je remonte à l’étage, on me couche sur mon lit souillé mais plus confortable que le carrelage du sol du couloir. Louise s’est ressaisie, réussit une saillie inattendue dans ces circonstances : - Tu as de la chance dans ton malheur, Nora est infirmière. Elle va bien te soigner. De la chance dans quel malheur ? Le malheur d’être cocufié par une femme, trompé par la mienne ou le malheur d’avoir chuté ou le malheur d’être découvert et de passer pour un voyeur ? - Tu te rends compte, Nora, mon délicieux mari venait me faire l’amour. C’est chou. - Oui, tu as un mari formidable. Je ne cesse de te le répéter. Je suis jalouse de ton bonheur. Ah ! Si je trouvais un homme comme le tien. Ne sont-elles pas en train de se payer ma tête ? - Mais tu trouveras plus vite que tu ne penses. Chéri, tu reconnais notre voisine Nora. Nous sommes devenues de très bonnes amies. - J’ai vu. En deux syllabes, je dis sèchement toute la joie que j’en retire, moi le mari humilié. - Il faut que je t’explique, ne te braque pas et tu applaudiras. - Si c’est-ce que tu penses, tu aurais dû me mettre au courant et m’éviter les tourments qui m’ont fait si terriblement souffrir. - Quand son mari est décédé, je suis ...
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