Ménage à trois; la chair est faible
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... tellement d’affection que je suis à mon tour devenue amoureuse de vous, cher Hervé. C’est quoi, cette histoire de fous ? Elles ont été surprises en flagrant délit de saphisme, en plein dévergondage, et maintenant ces deux débauchées essaient de m’enfumer avec des déclarations d’admiration et d’amour hors normes. Ces deux dépravées m’ont trompé et croient pouvoir me couvrir de ridicule pour trouver dans ma conduite une excuse à leur inconduite honteuse. Louise est convaincue d’être dans le vrai, sa voix ne chevrote plus comme au début de l’incident, elle contrôle et ordonne : - Assez parlé. Il faut te soigner. Montre ta jambe. L’infirmière va t’examiner. Pour bien faire retirons, tes chaussures, tes chaussettes et ton pantalon. Comment fuir avec une cheville abîmée, comment échapper aux bons soins de l’infirmière, tombée amoureuse de moi grâce aux louanges de ma femme infidèle, amoureuse et amante consolatrice d’une affligée très sensuelle, par pur souci d’épanouissement personnel. J’entends, je subis, je ne comprends rien à ce charabia de grandes âmes incarnées dans des corps si lascifs vus à l’œuvre. Louise est experte dans le jeu de déshabillage. Je laisse faire les deux lesbiennes affairées à me mettre à poil. Après tout, Nora en voit d’autres, tous les jours, dans son métier, si elle est réellement infirmière. Et si elles jugent nécessaire, pour un examen complet de mes plaies et bosses, de me retirer chemise, chaussettes et slip, c’est leur affaire. Je me connais, ...
... je suis normalement constitué, bien bâti et bien entretenu, je n’ai rien à cacher. De plus, c’est professionnel pour l’une et justifié par son statut d’épouse pour l’autre. Nora a effectivement des gestes très professionnels pour constater l’absence de fracture. Elle tâte, suit les os, plie les articulations sous l’œil inquiet de Louise. Mon coude présente un gros bleu et ma cheville tordue, douloureuse, enfle. — L’entorse est légère et guérira vite grâce aux compresses d’arnica, rassure l‘infirmière. Louise, ma femme, juge indispensable de vérifier le bon fonctionnement de mes organes génitaux : - Un choc psychologique violent pourrait me rendre inapte aux travaux sexuels, me dit-elle sérieuse et consciente de la violence de la surprise toute récente pour moi. Elle fait allusion à la révélation de ses relations charnelles avec la femme qui bande mon pied pendant qu’elle, ma femme aimante, fait bander mon pénis entre ses doigts de fée. L’arnica ne fera pas diminuer mon érection subite. Personne n’en parle, mais elle ne passe pas inaperçue et les deux femmes sourient, la femme qui prétend me combler et la veuve privée de sexe d’homme. Leur joie finit par déborder, chez ma légitime d’abord: - Vois Nora, je ne t’ai pas menti, Hervé possède un beau spécimen. En connaisseuse, avoue. Le voilà en érection. Je lui dois des soins qu’il venait réclamer. Parce qu’il a eu envie de moi, il est venu nous surprendre. C’est merveilleux, oui ou non ? Il mérite tout mon amour. - Il serait ...