Allons à la plage
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
plage,
magasin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
attache,
Lesbienne
fbi,
... gagner du temps. Je me retrouve rapidement dehors poussant un chariot particulièrement pesant et j’arrive à la voiture. Le coffre ouvert, j’extirpe un gros pack d’eau d’une main et un sac, lui aussi bien rempli. Mais je présume de mes forces, le plastique des bouteilles se déchire et elles roulent toutes au sol. Voulant les rattraper de l’autre main, je lâche le sac qui lui aussi répand son contenu. Je jure un bon coup et pliée en deux, je commence à rassembler bouteilles et autres éparpillés et qui pour beaucoup ont roulé un peu partout. — On va vous aider, M’dam’! Surprise je me retourne et vois les deux compères du magasin, ils ont toujours leurs téléphones à la main et sont plantés derrière moi. — Euh, merci, c’est gentil. Je me penche derechef pour saisir ce qui traîne. Placée près du coffre de la voiture, je sens un contact sur mon postérieur tendu vers le ciel. Un des deux gars, prétextant de déposer des choses dans le coffre, me colle de près et laisse sa main un peu trop traîner du côté de mes fesses au passage. Loin de montrer mon indignation, je me penche sous la voiture pour y récupérer une boîte de conserves. Y voyant probablement une invitation, une nouvelle pression sur mon cul se fait encore plus insistante, j’y réponds le plus bêtement du monde par le sourire de la plus parfaite idiote quand je me relève. L’autre a toujours son « téléphone-photo » à la main et me donne plus l’impression de s’en servir que de m’aider. Je dépose à mon tour le fatras de course ...
... qui encombre mes bras dans le coffre, mais je dois repousser et ranger une partie déjà placée là en vrac. Penchée en grande partie sous le hayon, je m’échine à repousser vers le fond un pack de bouteilles, diable que ce coffre est profond. Celui qui a toujours son portable à la main se place à mes côtés pour poser quelques affaires, à son tour ses mains en profitent pour s’égarer sur ma poitrine qui pend comme deux gros melons alors que je suis toujours là, bras tendu, en train de ranger le fond du coffre. — Ça aussi, j’mets au fond ?— Euh… oui si tu veux, s’il te plait.— Bien, c’est vous qui voyez ! Une fois encore une main en profite pour se glisser sous ma poitrine, un doigt se tend pour mieux l’effleurer. Toujours aussi impassible, du moins en façade car mon entrejambe s’humidifie dangereusement, je m’attarde dans la position même si cela ne s’impose plus. Devant une telle absence de réaction, le jeune salopard ne tarde pas à récidiver. Poussant je ne sais quoi sous mon poitrail, le retour de sa main se fait des plus baladeuse car je sens des doigts suivre la courbe de mes seins, si pesamment que le tissu en glisse un peu plus. Je me relève alors prestement soudain consciente que je me laisse trop aller à mes vices, je suis même en train de faire n’importe quoi mais c’est plus fort que moi. Mes bouts tendent le textile plus que jamais, je préfère ne pas regarder mon entrejambe, trop peur ou trop sûre d’y voir une large auréole sombre et humide au niveau de mon sexe. Je ...