Allons à la plage
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
ff,
ffh,
plage,
magasin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
attache,
Lesbienne
fbi,
... redresse la tête dans l’espoir qu’une bonne goulée d’air m’aidera à reprendre mes esprits. J’ai toujours une main en appui sur le bas du coffre, quand je vois dans le reflet de la vitre du hayon l’autre jeune dans mon dos, plutôt au niveau de mon postérieur, en train de mimer à raison de grands coups de rein, une saillie sur ma personne. La sensation et si forte que j’ai l’impression de sentir son sexe glisser entre mes jambes, tenter de crever le tissu du short pour mieux me prendre. Je ferme les yeux pour échapper à ces idées perverses et je me recule afin d’offrir une vue moins provocante. Je rentre alors en contact avec lui, qui est toujours en train de jouer du bassin, je me retourne flageolante sur mes jambes. — Pardon, je ne vous avais pas vu.— Pas grave ! C’est à ce moment-là que quelque chose roule sous mon pied, une autre boîte conserve certainement, j’en perds l’équilibre, parts en arrière et je m’affale dans le coffre de la voiture. Perdue l’espace de quelques secondes, je me retrouve les jambes en l’air, reposant sur le bord de la voiture, les fesses plantées dans le fond du coffre. En face, mes deux aides sont plantés devant moi, les yeux scotchés sur mon entrejambe. Je comprends vite pourquoi, j’ai les jambes bien écartées, le short humide moule à la perfection ma vulve bien gonflée, ma fente profondément creusée par le tissu trempé de mon jus. J’aurai le short peint sur le corps que le spectacle ne serait pas différent. — Ça va Cath ? qu’est-ce que tu ...
... fais ?— Euh… oui Sylvie, j’ai glissé et je suis tombée dans le coffre. Devant le regard interrogateur de Fanny et Sylvie qui viennent d’arriver je poursuis : — J’avais tout fait tomber et ils m’ont aidée à ramasser, merci bien, c’était gentil de m’aider. Sous le regard mi-soupçonneux, mi-amusé des deux filles, mes deux lascars remettent leurs casques sur les oreilles : — De rien, m’dam’! Ils s’éloignent en se montrant leurs portables et alors que nous finissons de remplir le coffre, j’entends, (les filles aussi certainement) : — Y’aurait pas eu les deux autres, on se la faisait cette salope !— Ouais, t’as vu sa chatte à cette pute, elle attendait que ça de se faire mettre. Le reste se perd derrière le bruit d’une voiture qui passe. Honteuse, je ferme le coffre quand Sylvie dit : — On est arrivé à temps on dirait, Fanny ?— Ah ? Tu crois ? Pourquoi elle dit ça ? répond Fanny en me regardant et prenant un air faussement étonné.— Je ne sais pas, de l’humour à la Sylvie, dis-je toujours aussi honteuse de mon comportement. Sur ce pieux mensonge je m’enfonce dans la voiture. Sur le reste du parcours, Sylvie poursuit ses allusions graveleuses, mimant une certaine indignation et disant que je n’étais pas sortable. Prenant à partie Fanny, elle dit qu’elle ne sait plus quoi faire de moi sur le ton de la plaisanterie. Fanny rentre dans son jeu et parle de moi comme si j’étais une gamine trop délurée et vicieuse. Sylvie finit par dire : — Pourtant, c’est pas faute de la punir ! Mais j’ai ...