Le Téléphone sonne, tu décroches (4)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
cocus,
inconnu,
laid(e)s,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fouetfesse,
... Il aime dominer et la vulgarité se lit sur son visage. Je ne lui fais pas confiance.— Tant pis ! J’aime l’exhibition, tu le sais, et je constate que je ne suis pas insensible à la soumission. Alors, tout se passera bien, tu verras. Jean-Claude revint et nous invita à le suivre dans sa voiture. — Ne vous inquiétez pas pour le retour, mon chauffeur vous déposera, en fin de soirée, auprès de votre véhicule. Les deux hommes montèrent à l’arrière et je pris place à côté du chauffeur qui était plus petit que son patron, mais tout aussi gras. Il devait approcher les soixante ans et avait beaucoup de difficultés à tourner son volant qui frottait constamment sur son ventre. Il me paraissait aussi dégoûtant que Jean-Claude et avait le même regard scrutateur que lui, sur mon décolleté et mes cuisses qui étaient largement découvertes. Jean-Claude s’adressa à son chauffeur : — Philippe, tu téléphones à Christiane pour qu’elle me prépare les contrats de l’alarme.— Mais, Monsieur, Christiane a déjà quitté le boulot depuis quelques heures.— Que veux-tu que cela me fasse ? Tu l’appelles chez elle et tu lui dis de se rendre au plus vite au garage. Si ce n’est pas le cas, je la congédie immédiatement. Et toi, quand nous arriverons, tu nous prépares une bouteille de champagne et cinq verres.— Cinq verres, patron !— Oui ! Tu as bien compris. Nous allons tous fêter la signature des contrats. En entendant ces propos, un frisson me parcourra la colonne vertébrale et je sentis mon ventre se nouer. ...
... La tournure que prenaient les événements ne me plaisait guère. Je commençais à regretter ma proposition quand j’entendis la voix tremblante de Samba qui venait confirmer mes craintes. — Mais, Monsieur, dans votre suggestion concernant le déroulement de la soirée, il n’était nullement question d’une présence de deux personnes supplémentaires. La réaction de Jean-Claude ne se fit pas attendre et fut cinglante et sans appel. — Samba, je ne te donne pas le droit de parole. Ton rôle n’est que limité et je te conseille de le remplir correctement. Manon sera la reine de la fête et donc, l’attraction centrale de la soirée. Si tu n’es pas d’accord, je ne signe rien et je fais à ton patron un compte rendu de tes démarches maladroites prouvant de la sorte ton incompétence professionnelle. L’ambiance fut, tout à coup, glaciale. Samba n’a pas osé négocier les propos de Jean-Claude et moi, je regardais fixement la route en m’efforçant de ne penser qu’au plaisir que je pourrais retirer de cette fichue soirée. Après tout, c’était mon idée et je m’y collais, un point c’est tout. Samba avait raison de dire que cet homme était un rustre sans éducation, très autoritaire et n’aimant pas que l’on discute ses ordres. Quelque part, au plus profond de moi-même, le contexte me plaisait et m’excitait. J’étais un peu troublée. Nous arrivions à destination et nous sommes montés au premier étage dans un énorme bureau qui peut servir de salle de conférence. L’éclairage était assez vif et il y régnait une ...