1. Le Téléphone sonne, tu décroches (4)


    Datte: 10/04/2019, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, inconnu, laid(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fouetfesse,

    ... odeur particulière, un mélange de cambouis, de cigare et de parfum masculin avec des effluves de transpiration. Une grande table, entourée de plusieurs sièges, trônait au centre de la pièce. Christiane était déjà présente et s’était occupée à rassembler les différents devis. C’est une très jolie fille de 30 ans, très nature. Pas de maquillage, cheveux coupés très court à la garçonne, petite poitrine et habillée simplement d’un jean et d’un chemisier blanc transparent laissant apparaître un magnifique soutien-gorge blanc tout en dentelle, un peu semblable au mien. Son allure générale, quoique très classe, était beaucoup plus masculine que féminine. On ressentait son entier dévouement à son patron. Sa promptitude à se rendre libre en dehors des heures de travail, et sa vivacité à réunir les documents nécessaires fait d’elle une excellente secrétaire. De son côté, Philippe n’était pas en reste, car le champagne était déjà servi et Jean-Claude m’en offrait une coupe. Il avait ce petit sourire en coin affichant de la sorte sa toute-puissance à maîtriser la situation. Je pris le verre qui m’était offert et il en profita pour approcher ses lèvres des miennes. J’eus un mouvement de recul compréhensible à la vue de cette bouche aux dents jaunes mal soignées et d’où sortait une forte odeur de tabac. — Vous commencez très mal, chère petite Madame ! Souvenez-vous. Je vous veux obéissante et totalement soumise à mes désirs.— Excusez-moi, Monsieur. Je baissai les yeux et bus, d’un trait, ...
    ... ma coupe de champagne. Jean-Claude s’approcha un peu plus et passa une main sur mes fesses qu’il commença à pétrir au travers de ma jupe s’apercevant, de la sorte, de l’absence de sous-vêtement. J’étais rouge de honte. Ensuite, il s’adressa à son personnel. — Je vous présente le cadeau que m’offre le directeur de la firme qui s’occupera de placer les alarmes dans mes différents bâtiments. Elle se prénomme Manon et Samba, ici présent, est son collaborateur. Ils vont nous offrir un spectacle digne des plus grands cabarets érotiques de la ville et comme tout cadeau je vais commencer à le déballer devant vous. Chère petite Madame, veuillez déposer votre verre et placez-vous devant moi. Je tremblais des pieds à la tête et je lui fis face en m’appuyant, un peu, sur le bord de la table afin de me soutenir. Il s’assit sur une chaise et prit une cravache qui se trouvait derrière lui contre le mur. Mon regard croisa celui de Christiane qui semblait se réjouir de la situation. J’avais très peur et il le remarqua. — Ne t’inquiète pas, je ne te ferai aucun mal. Les battements de mon cœur résonnaient follement dans mes tempes. Ils souriaient tous les trois et je remarquais que Samba s’était approché pour ne rien rater de la scène qui allait se jouer. Je voyais trouble et je fixais un point devant moi. Je sentais la cravache suivre le contour de mes vêtements pour finir entre mes deux genoux et essayer, en vain, de remonter ma jupe. — Remonte ta jupe ! À l’écoute de cet ordre, je frémis et ...
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