1. Épisode III : La troisième candidate


    Datte: 11/04/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, volupté, Oral pénétratio, fdanus,

    Quelques jours après cette soirée brûlante (jours passés séparés par le travail et les loisirs respectables), Sandra et moi nous retrouvâmes pour commencer les entrevues pour une troisième personne. Ni elle, ni moi n’avions de gens prêts à venir emménager et nous avions placardé de petites annonces, journaux et babillards. Nous avions eu cinquante trois appels ou messages et nous nous préparions à un week-end long et fastidieux, bien qu’amusant. Je fus heureux d’apprendre que Sandra aurait préféré une fille. Elle trouvait que je faisais bien à manger, mais plutôt mal la vaisselle. Moi je préférais de loin une jeune femme resplendissant à un jeune homme. Et si je pouvais tenter les mêmes expériences qu’avec Sandra ? La perspective était plus qu’enivrante. Nous nous installâmes au salon, sur les banquettes, allant à tour de rôle ouvrir à notre prochain candidat. Les mimes que nous faisions, de derrière ledit candidat, une fois dans le salon resteront dans mes plus beaux souvenirs. Les joues rouges et les larmes de rire de Sandra alors que je mimais un homme. Ce fut mon tour et j’allai ouvrir la porte. Une jeune femme que je trouvais un peu bcbg me sourit aimablement. Les cheveux blonds cendrés, ramenés en chignon derrière sa tête, un visage très joli, plus hâlé que ne l’était Sandra. De beaux yeux verts, pleins d’intelligence et de fierté. De magnifiques lèvres, charnues et rouges, pleines et apparemment chaudes. Un nez mutin et je la trouvais bien peu maquillée, d’un grand ...
    ... naturel. J’eus une certaine raideur au bas ventre, rien d’alarmant. Elle portait un ensemble gris foncé (plutôt sinistre) d’une pièce, dont le col d’un chemisier blanc dépassait et qui lui allait à mi-cuisse. Elle avait une belle peau et je me perdis un instant dans son décolleté, non plongeant mais offrant la vue de sa gorge agréable. Ses jambes fusaient de la jupe, nues et hâlées, délicates et ravissantes. Je cafouillai presque, lui cédant largement le passage, frôlant débouler l’escalier du sous-sol. Passé la porte, quelque chose changea en elle. Elle me parut moins grise, plus joyeuse et spontanée. Je la devançai, alors qu’elle enlevait ses fins souliers, puis lui indiquai le salon au fond du couloir, pour prendre un peu de recul. Je lui souris un instant et la détaillai rapidement. Des seins, ma foi, d’une grosseur tout à fait parfaite, un peu lourds mais équilibrés à son corps svelte, un ventre que j’imaginais doux et tendre. Des fesses croquantes et bien plus. La raideur devint plus désagréable. Dans la cuisine, je ramassai la carafe d’eau et la suivit, ne lâchant son cul du regard que lorsqu’elle passa le coin. Elle resta droite, alors que j’entendais Sandra lui proposer le fauteuil. Elle s’assit, croisant les jambes élégamment. Pantelant, je me détournai pour regarder Sandra, qui m’observait, l’air de dire : « Bon, il est vendu lui. » Je versai un verre à notre candidate et posai la carafe sur la table. Elle le prit et en bue une gorgée. À la voir, je crus qu’elle ...
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