1. Épisode III : La troisième candidate


    Datte: 11/04/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, volupté, Oral pénétratio, fdanus,

    ... me massait les couilles, qu’elle me branlait et me suçait profondément en même temps. Elle ralentit progressivement, sortant mon sexe de sa bouche et le lécha à nouveau sur toute sa longueur. Je respirai profondément, je fermai une seconde les yeux pour me calmer. Sandra me regardait, me branlant très lentement, se léchant les lèvres. Puis, elle fourra ma queue à nouveau entre ses lèvres et le rythme grimpa immédiatement. J’ai cru qu’elle m’aspirait. Je forçais à peine le mouvement de ma main dans ses cheveux, elle gardait en permanence une main pour jouer avec mes couilles et les malaxer. Elle me suçait depuis deux minutes au moins et j’avais atteint le point où je sentais mes membres frémir avant la jouissance. Je gardai un brin d’esprit et m’attendais à sortir mon sexe de sa bouche moelleuse, mais elle le garda entre ses lèvres, elle qui sentait très bien que j’allais jouir. Sandra augmenta la pression de sa langue contre ma hampe et la prit en entier, jusqu’à la garde, à plusieurs reprises, plongeant toujours ses yeux bleus pâles dans les miens, avec un regard ardent et vorace. Je me crispai et je jouis enfin, venant à la rencontre de sa bouche pour me vider en longues giclées épaisses. Ma plantureuse rousse me regarda et déglutit, avalant deux jets lentement, puis sortit mon sexe et le dirigea vers ses seins où je me vidai entièrement. Sandra reprit mon sexe encore assez dur et le nettoya avec circonspection de sa langue. Elle passa ensuite ses mains sur seins qu’elle ...
    ... agaça, les massant d’huile blanche, sans jamais laisser mes yeux, puis elle remonta les bretelles de sa robe. Sandra se lécha les lèvres et se remit debout. Elle empoigna ma queue au repos pour la caresser et, satisfaite, m’annonça qu’elle allait dormir, elle travaillait tôt le lendemain. Elle posa un baiser dans mon cou et lâcha mon sexe. J’étais un peu déçu, mais tout compte fait, j’étais fatigué moi aussi. Je répondis en ahanant que j’allais me coucher et remontai mon jean, alors qu’elle sortait de la cuisine, m’offrant la vue de son cul balanceé par sa démarche chaloupée. Elle se détourna un instant et me dit simplement : — Tu sais, pour Marianne. Si tu veux et peux la baiser, ça me dérange pas. Ça faisait longtemps que j’avais pas eu un fuckfriend comme toi, on est sur la même longueur d’ondes et je peux partager, dit-elle en me faisant un clin d’œil. Elle entra dans sa chambre. Vidé et l’esprit tranquille, je me rendis à ma chambre où je m’affalai sur le lit pour ainsi m’endormir, la tête pleine de rêves. Marianne se représenta le lundi, avec une amie, argent en main. Elle fit les présentations – une certain Marise, ou quelque chose d’approchant. Marianne était vêtue d’un jean serré, qui lui allait à ravir, et un chemisier bleu avec un veston noir. C’était la grande mode et bien que je détestai la mode, ça lui allait parfaitement. Elle avait libéré ses cheveux et montrait un sourire resplendissant. Ça lui donnait un look bien plus décontracté que celui de l’entrevue. Ma ...
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