1. Épisode III : La troisième candidate


    Datte: 11/04/2019, Catégories: fh, jeunes, frousses, volupté, Oral pénétratio, fdanus,

    ... testait le goût de l’eau. Puis elle nous regarda et nous détailla. À croire que nous étions autant examinés qu’elle. J’en fus content, nous avions une certaine pression et nous n’étions pas en présence d’une cruche. Sandra s’aperçut bien vite que c’est sur elle que pesait l’entretien, car je perdais mes mots. Au moins, je gardais une bonne contenance, répliquant de temps à autres et surtout écoutant ses réponses avec attention. Marianne (c’était son nom) était plus jeune que moi d’un an, ce qui m’étonna vu sa classe et sa tenue. (C’est vrai que j’ai tellement peu de classe…). Je fus ravi de cette très jolie jeune femme, intrigante, plein de classe et sympathique, qui étudiait en littérature, tout comme moi. J’avais décidément plusieurs points en commun avec elle et j’en étais très heureux. Nous lui fîmes visiter l’appartement. Elle s’extasia devant la bibliothèque, piquant droit sur les étagères. Sandra et moi l’avions garnie de nos livres. (J’en avais une quantité quasi industrielle). Elle n’était toujours pas pleine, mais tout de même. Marianne parcourut les étalages des yeux, s’arrêtant sur certains titres qui l’étonnaient, demandant un résumé presque exhaustif. Nous lui montrâmes la chambre du sous-sol qu’il lui restait. Elle fut rassérénée en découvrant que pas moins de trois fenêtres, pas très grandes mais tout de même, baignaient sa chambre de lumière. Marianne se pâmait presque, nous redemandant sans cesse le montant (qui était risible), puis s’exclamait : — Pas ...
    ... possible… Vraisemblablement, elle était enthousiasmée. Et moi aussi. Marianne nous quitta en laissant son numéro de téléphone et en affirmant pouvoir faire un dépôt dès le lundi. En fait, presque tous les candidats avaient dit la même chose. Je la regardai partir, observant son dos mince et ses cuisses quand elle marchait. — Alors, je pense qu’on a une gagnante ! lança Sandra. Je ne notai aucun ton déçu ou désappointé. Sandra avait l’air, elle aussi, sous le charme. — Nous n’aurons une locataire que si tu la veux aussi, mais moi, c’est clair.— Je pense aussi qu’elle sera très bien, m’annonça Sandra, tout sourire en me regardant. Je lui renvoyai son sourire et le mien me mangeait le visage. — Je devrai redoubler d’efforts pour être ta préférée, fit-elle, moqueuse. Je fis un sourire en coin. Sandra avait tout de même une certaine avance. — Il faut quand même faire passer les autres, j’me sentirais malhonnête, fis-je en voyant un jeune homme boutonneux s’approcher, hésitant. C’est ton tour non ? Elle hocha de la tête. Le soir même, je laissai un message chez Marianne pour lui annoncer qu’elle pourrait passer le lundi pour régler les détails et signer le contrat. Je me frottai les mains dans la cuisine et je calai à longues gorgées mon verre d’eau, pour me faire reprendre mes idées. Sandra m’observait d’un air amusé, moi tout content et nerveux en laissant un simple message. Ma belle rousse travaillait tôt le lendemain et m’annonça qu’elle allait se coucher. Mais en s’approchant de ...
«1234...10»