Épisode III : La troisième candidate
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... belle blonde m’annonça qu’elle allait revisiter l’appartement. Je lui dis qu’elle était chez elle et que j’allais moi-même partir en balade. Avant tout, je lui montrai sa place dans le frigo, dans le garde-manger, lui détaillai vite fait le quartier, épicerie, pharmacie, club vidéo, librairie même, etc. Il nous fallait aussi expédier la paperasse et son amie en profita pour aller dans sa chambre prendre quelques mesures. Lectures, signatures et dates. Les contrats étaient signés, en deux, trois, quatre ; bref, tous les exemplaires. Je lui remis les clés de l’appart, du garage, de la remise, ses copies et tout le bataclan. Sa main me touchait sans cesse, saisissait chaque chose en frôlant mes doigts. J’attribuai tout cela à la joie et à ses manières chaleureuses. Mais quand je m’assis sur le banc, enfilant mes patins, elle s’adossa au coin du mur, m’observant. Elle était très belle dans cette position et je la vis bien qui me détaillait lentement, les yeux brillants. Elle regarda longuement mes épaules larges, mes bras forts et mes mains puissantes. Mon torse massif couvert de mon t-shirt, mon ventre plat. Cachant ma satisfaction, je me relevai, roulant sur le parquet, discutai un moment – déménagement, prise de possession des lieux, etc – et l’avertit de bien verrouiller la porte. Je lui souhaitai une bonne soirée, criai à son amie la même chose, j’entendis une réponse diffuse et sortis prendre l’air, roulant sur le trottoir par de lents et puissants coups de patins. Je ...
... réfléchis à cette situation tout à fait étrange et délicieuse. Sans connaître Marianne, je savais qu’elle avait une certaine envie de moi, mais j’ignorais sa réaction par rapport à Sandra. Je me sentais en pleine possession de mes moyens et très bien capable de satisfaire deux femmes. Restait l’une des deux femmes à convaincre… Elle déménagea la même semaine, le mercredi. Papa et maman, petit frère costaud et petite sœur piaillant et courant partout. Ses parents eurent l’air bien heureux de voir l’état de l’appartement, m’adressèrent des sourires de gens satisfaits et moins inquiets. Une fois installée, tout ce petit monde la laissa seule et joyeuse. Je l’entendis – et l’imaginai – prendre sa douche après le dur labeur, se frottant consciencieusement. Je l’entendis aussi qui sortait, traversait l’appart, ses pieds mouillés faisant « splitch splitch » et descendre à sa chambre. Une minute plus tard, elle cogna alors à la porte ouverte de ma chambre. Je me détournai de mon livre et de mon écran pour voir la belle blonde qu’elle était, dans son short moulant et son t-shirt bleu pâle, les cheveux encore humides, le visage radieux. Elle se tortillait les mains, comme nerveuse. Je me demandais bien ce qui pouvait rendre anxieuse une reine pareille. — Tu veux bien m’aider ? C’est une question ? Par pitié dis-moi que c’est pour te déshabiller… — Oui. Pourquoi donc ? fis-je en me levant.— J’ai décidé de participer moi aussi à la bibliothèque. J’ai deux caisses de livres à monter, mais je ...