Xanths (1)
Datte: 11/04/2019,
Catégories:
Erotique,
... j’avais refusé à beaucoup par peur de la douleur ; même ici le plaisir n’était que décuplé au fur et à mesure que la protubérance s’élargissait. Ce qui devait arriver arriva, et je finis par avoir l’orgasme le plus dévastateur de toute ma vie. Tout y contribuait : le cadre, la prison, l’étau, le désir forcé provoqué par l’environnement. Le plaisir provoqué par les plantes d’hier midi était infime par rapport à celui-ci : je convulsai violemment, tenue par la chose qui m’entourait, avant de m’affaler de plaisir. Ko, j’étais à bout de souffle ; mais la plante continuait son affaire, et le plaisir remontait doucement au fil des secondes. Quelques instants de lucidité provoquèrent chez moi une crise de panique : j’essayais de forcer la protubérance, en vain ; voire même de contracter mes orifices, mais le plaisir n’en était que plus grand. Dans ma panique, je ressentis une douleur sur mon épaule droite : le couteau. Il avait dû tomber en même temps que moi dans cette chose. J’eus à peine le temps de le saisir avant d’écarquiller les yeux : une boule se forma à la base de la protubérance, plus grosse que mon point, avant de commencer à se diriger vers mon intimité (où ce qu’il en restait). Ce devait être sa semence. Le plaisir devenait de nouveau insoutenable, mais je devais agir : dans un élan phénoménal de volonté, en rassemblant les dernières forces qu’il me restait pour lutter contre le plaisir et l’orgasme proche, je tranchais la protubérance. La semence de la chose explosa ...
... sur mon bas ventre, visqueux et collant. J’émis un léger cri en me rappelant la seconde, toujours ancrée dans mon petit trou, certes bien moins large que la première, mais plus longue. Je la tranchai également. Les parois autour de moi s’agitèrent, avant d’exercer toujours plus de pression autour de moi. Je commençais à avoir mal au dos : je me mis à la tailler. L’effet fut quasi-immédiat : percée, l’eau s’infiltra à l’intérieur ; la pression se fit moins forte et je pus m’en extirper. Je parvins à sortir de l’eau, le couteau serré au creux de ma main. Complètement paniquée, je courus vers le refuge. *** J’arrivai vers le campement avec difficulté. Déjà j’étais épuisée, physiquement : je trébuchais sur la moindre pierre, et plus je m’appliquais à courir rapidement, plus je tombais. Ensuite, j’avais mal : mon petit trou me brulait. Si la protubérance entrée était initialement peu épaisse, elle s’était élargie rapidement comme l’autre. En bref, je m’étais fait casser le cul et sur le coup j’avais aimé ça. Heureusement pour moi que Zvolk m’avait confié son couteau, sinon je serai restée au fond de l’eau à me faire ramoner pendant des heures. Qui étaient ces « gardes » ? A quoi ressemblaient-ils ? Existaient-ils vraiment ? C’est l’esprit embrumé et le corps ravagé que j’arrivai, à bout de souffle, devant Zvolk. — Zvolk ! criais-je. Zvolk… Aide-moi… Il me regarda avec de grands yeux, surtout lorsque je trébuchai, tombant au milieu des cendres du feu. — Qu’est-ce y a ? Tu t’es faite ...