1. Xanths (1)


    Datte: 11/04/2019, Catégories: Erotique,

    ... viennent les gardes. Même si ça doit être un cri de femell… de femme. Et rase toi, Nathanaël déteste les poils. Si jamais il devait te choper, vaux mieux pas que t’en ai, de ce que j’ai pu entendre c’est pas joyeux ce qui peut t’arriver. Il partit, ne m’apercevant pas piquer un fard comme jamais. Je regardai le couteau quelques instants, hésitante. Devais-je me raser ? La réponse la plus sûre était oui, les petites plantes s’étaient accrochées à mon buisson pour atteindre mon intimité hier après-midi. Mais en soi ? Je refusai, souriant pour m’en convaincre. Si je devais recroiser Nathanaël, je resterais tel quel, juste par pur défi. De toute façon, que pouvait-il m’arriver de pire ? Je profitais quelques instants avant de me diriger vers la berge. Je n’eus pas le temps d’y parvenir : d’un coup, quelque chose surgit d’entre mes cuisses pour me propulser à plus de deux mètres de hauteur. J’eus à peine le temps de distinguer la chose : une espèce de bol géant s’étirant à volonté, vert foncé et vaseux. Le bord, entre mes cuisses, m’avait propulsé hors de l’eau ; l’autre côté se rabattit violement sur ma tête et me fit tomber à l’intérieur avant de se refermer. Je fus gobée avant même de pouvoir ouvrir la bouche. A l’intérieur j’étais la tête au fond de l’eau, tordue. J’étais emprisonnée dans une boule vaseuse qui collait légèrement à la peau. La tête sous l’eau, je commençai à paniquer, jusqu’à ce que le niveau d’eau ne disparaisse. J’étais pliée en quatre et voyais l’eau du ...
    ... ruisseau couler derrière la barrière transparente ; aucune issue n’était visible à l’intérieur : la chose commença à se rétracter. J’essayais de me débattre, paniquant par peur de me faire broyer, mais l’étau se resserrait inlassablement, jusqu’à ce que je sois presque complètement immobilisée. Je finis par me retrouver avec les genoux des deux côtés de la tête, écartés de force par les parois de ma prison. Là encore je fus prise de court (voire prise tout court) : une protubérance se forma entre mes cuisses, que je n’aperçus qu’une fois qu’elle fut à l’intérieur de mon vagin : elle entra violemment, m’arrachant un cri de surprise… et de plaisir. J’avais beau crier, taper contre les rebords, rien ne semblait bouger. La protubérance se mit à grossir dans mon ventre, en s’élargissant. Je finis par gémir de plaisir lorsque la chose se mit à faire des allers-retours à l’intérieur de moi. Je me sentais pleine et béate. Une seconde protubérance pointa le bout de son nez, et se mit à forcer mon petit trou. Je criais : je l’avais toujours refusé à mes partenaires. Sauf que je ne pus m’y opposer : même en agrippant la protubérance de mes deux mains, je ne pus l’empêcher de forcer l’entrée. Pénétrée de toute part, mes forces m’abandonnèrent peu à peu : la tentation était trop forte, je me tordais de plaisir dans ma prison, les bras ballant et la bouche grande ouverte. J’aurais bien voulu rester comme cela pour l’éternité. Les « lianes » étaient si grosses en moi. Même par derrière, ce que ...