Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... comblaient la vaginale que je suis. Je m’étais montrée égoïste, pensant à mon seul plaisir. Je n’avais pas su non plus faire ce qu’il fallait face aux tendances à l’éjaculation précoce de Philippe. Marie, elle, à ce moment-là, ne pensait qu’au plaisir de l’homme qu’elle voulait et qu’elle aimait. A ma décharge, les précédentes compagnes de Philippe, Flavienne et Patricia n’avaient pas non plus su découvrir quel amant Philippe pouvait être. Marie prenait tout son temps, faisant durer les préalables. Elle masturbait doucement Philippe, le prenait en bouche, mais devinait quand il était sur le point d’éjaculer. Elle savait alors s’arrêter, le rassurer, avant de reprendre le cours de leurs ébats. Ce que je voyais devant moi, c’était un couple qui faisait l’amour, avec tendresse et progressivement, alors que moi, du fait de mon hypersexualité, je baisais, j’avais besoin d’enchainer les orgasmes et les coïts. Marie et Philipe, pendant un moment qui me sembla interminable, échangèrent baisers et caresses. C’est Marie qui était à l’initiative. Philippe reprit les choses en mains en se mettant entre les cuisses de sa maîtresse et il lui pratiqua un long cunnilingus, qu’elle encourageait par ses gémissements et des paroles d’amour. Marie eut son premier orgasme. Comme moi, elle était multi-orgasmique. Philipe ne lui laissa pas de répit. Il voulait à son tour dominer cette dominatrice. Il lui introduit quatre doigts qui, lubrifiés par sa mouille abondante n’ont aucun mal à pénétrer son ...
... vagin distendu, les yeux fermés elle attend. Il tourne pour l’ouvrir encore plus. Philippe allonge son pouce à l’intérieur de sa main, et pousse en vrille. Arrivé à l’articulation du pouce ça bloque, les lèvres n’ont plus de formes, sa chatte devient un grand trou difforme, millimètre par millimètres il avance en tournant. Elle pousse un cri strident en même temps que ses lèvres se referment sur son poignet, son petit abricot a avalé la main !! Ça y est, elle est fistée !! Il commence à bouger ses doigts, les retourne doucement vers l’intérieur, pile-poil sur son point G qu’il se met à gratter. Je sais par expérience ce que Marie peut ressentir. Philippe est un fisteur exceptionnel. • Haaa ouii, c’est bon …on dirait que j’ai une bite de cheval dans la chatte …remue encore… Lentement son poignet tourne alternativement, puis là pistonne ….c’est impressionnant. Marie se soulève sur ses coudes pour regarder ce qui ce passe entre ses cuisses. Le jus de sa chatte coule le long du poignet de Philippe. • Oh, oui, Vas-y plus fort…baise moi avec ton bras….je veux jouir comme çà …. Je n’en peux plus, j’interviens, pour encourager Philippe. • Oui, chéri, mets lui ton bras le plus profond possible, je veux entendre cette salope hurler de plaisir et de douleur ! • Comment oses-tu parler de moi ainsi, tu le paieras ! • En ce moment tu n’es pas Maitre Marie C, tu es une femelle qui se fait prendre par un mâle. Fais-la couiner, chéri. J’aime ça. Ah, si je pouvais branler mon clito, ma chatte ...