Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (19) : avec Marie, domination et plaisir.
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... paume, jusqu’au début du poignet. Je reste un moment pantelante, comme si un régiment m’était passé dessus. • J’ai encore une surprise pour toi. Philippe, regarde bien, ton épouse est une véritable truie. Olga, ouvre ta bouche et approche de ma chatte ! • Non, s’il vous plait, pas ça ! C’est sale, je ne veux pas. Elle me gifle à nouveau : • Obéis, ouvre la bouche, je vais me soulager et les hommes le feront ensuite. Marie écarte les lèvres de sa belle chatte, et un jet violent fuse dans ma gorge. Je suis surprise, j’ai la bouche remplie de pisse. Malgré ma nausée, j’avale. • Décidemment, rien ne l’arrête ! Les hommes, approchez et soulagez-vous ! C'est au tour de Rachid. Nos ébats lesbiens l’ont beaucoup excité, il commence par envoyer sur mes seins, mes cheveux, mon visage, de puissantes giclées de sperme, puis urine dans ma bouche. C'est maintenant au tour de Philippe, mais il est hésitant, il a des scrupules que l'on se serve de moi comme d'un urinoir. Je suis à ses genoux, bouche ouverte, et Marie l'encourage à se laisser aller. Il s'abandonne, presque malgré lui. Ce petit jeu semble lui plaire. Il m'offre un long jet bien fourni, vrillé et doré. Jamais je n’aurais imaginé accepter ça et y trouver du plaisir. Marie me fit ensuite changer les draps. • Bon, maintenant je me suis assez occupée d’elle. Rachid, avant que, comme convenu, tu nous laisses tous les trois, tu vas l’attacher au fauteuil, pour que tu ne puisses pas bouger et les mains dans le dos, pour que tu ne ...
... puisses pas te caresser. Serre bien les cordes, qu’elle ne puisse pas bouger et que ça lui fasse mal. Je veux seulement que tu assistes, impuissante, à ton cocufiage. A la fin de cette nuit, ton mari sera définitivement à moi. Rachid me lia les mains derrière le dos, puis m’attacha au fauteuil. Les cordes étaient en effet serrées et me faisaient mal. Pendant des heures, j’ai assisté, impuissante, aux ébats de Marie et de Philippe. J’assistais à l’adultère de mon mari. Marie avait deviné que ce serait pour moi une épreuve. C’est la pire des tortures qu’elel pouvait m’infliger. Ça peut surprendre et choquer, moi, qui, depuis que je suis mariée avec Philippe, me suis offerte à tant d’hommes, mais je n’acceptais pas la réciprocité. J’étais partagée entre la colère, sinon la rage, car j’étais folle de jalousie. Pourtant, peu à peu, ce que je voyais provoquait chez moi un émoi, puis une excitation croissante. Je devais avouer que c’était beau, et que j’étais particulièrement excitée de voir mon mari prendre du plaisir à faire jouir une autre femme. C’était une autre Marie que je voyais. Ce n’était pas la dominatrice, la sadique qui me faisait souffrir et me voulait tant de mal. C’était une femme amoureuse, qui parvenait à ce qu’elle voulait depuis des années. Je me rendais compte aussi que, malgré mon amour pour Philippe, je n’avais pas su découvrir l’amant qu’il pouvait être. Je m’étais arrêtée à la taille moindre de sa verge, comparée en particulier aux mâles comme Rachid qui ...