La mère de Jean (12)
Datte: 12/04/2019,
Catégories:
Divers,
... J’aimerais Adèle que tu t’occupes de Jacqueline. — … ! Tu ne participes donc pas ? — Pas tout de suite. J’aime aussi voir. Regarder, entendre crier ma belle, la voir vibrer sous d’autres mains, sous une langue, oui c’est un peu mon péché mignon, un petit plaisir rare. — Ma foi… c’est vous qui décidez, après tout, peu m’importe… je veux bien vous faire plaisir à toutes les deux et de cette manière-là ou une autre ! Cette fois la seconde femme n’avait plus son slip de bain. Elle était allongée sur la toile de la chaise et son corps cuivré était de toute beauté. — Tu ne préférerais pas la table de massage ? — Non… ici… et pas un massage, seulement des caresses, tu comprends la différence Adèle ? — À peu près oui… Elle s’était alors agenouillée près de cette nymphe qui ne bronchait plus. Les doigts de la rousse parcoururent une première fois la nuque pour s’éloigner vers le lobe d’une oreille. Ils survolaient ne touchant que très peu la surface douce ce corps exposé. Puis Adèle se prit à aimer faire des attouchements légers. Elle commença par descendre le long de la colonne vertébrale, si lentement que l’autre soupirait d’impatience. Elle respirait de façon plus saccadée, attendant visiblement que les mains continuent de plus belle. Du reste celles-ci au niveau des fesses malaxaient gentiment deux globes d’une fermeté exemplaire. Adèle continua sa progression le long d’une cuisse, ses deux mains accolées pour suivre les contours des muscles. Les pattes remontèrent ensuite ...
... sur l’autre jambe, et arrivées au derrière, la rousse ne garda qu’un seul doigt pour suivre le long sillon qui coupait en deux ce cul harmonieux. Le majeur qui redescendait était au fond de la raie. L’autre avait eu un petit cri, mais n’avait pas bronché. Alors les phalanges s’aventurèrent docilement vers les lèvres bizarrement retroussées du sexe de Jacqueline. Et le geste restait d’un coup suspendu, un arrêt net et franc motivé par quelque chose d’inhabituel. Les yeux de la caresseuse se portèrent sur cette anomalie que la main décelait. Alors Jacqueline, dans un mouvement ample et souple se retourna, face au plafond de verre de la piscine. Les quinquets d’Adèle faillirent quitter leurs orbites. Devant elle, la femme arborait un pénis digne de ce nom et juste sous celui-ci, un sexe féminin tout aussi bien formé que le sien. Une femme avec deux sexes ! Un homme femme, une femme-homme ! Jamais la rousse n’aurait pensé que cela puisse exister. Elle avait bien souvent entendu parler d’hermaphrodites, mais pour elle il ne s’agissait que d’un mythe. fsafcr Et pourtant… là sous ses regards, le sexe masculin était raide. Bon, il n’avait pas la taille de celui d’un Gustave, mais il avait des dimensions… acceptables. Elle restait scotchée à ces deux sexes accrochés à un seul entrejambe. C’était saisissant et bêtement elle se demandait… — Ils… ils marchent tous les deux ? — Ben oui qu’est-ce que tu crois ? — … ? Elle venait de se rendre compte qu’elle avait pensé à haute voix et que ...