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La mère de Jean (12)
Datte: 12/04/2019, Catégories: Divers,
... Jacqueline répondait franchement. — Tu vois… c’est sympa de tantôt être une femme et parfois un homme. Demande à Nathalie — Je crois que j’ai de la chance ma chérie. Mais je suis partageuse et je veux bien que tu te serves de l’un ou l’autre… C’est merveilleux ! Jacqueline est à la fois mon homme et ma femme. Imagine les possibilités infinies que cela nous donne. — Mais… pourquoi alors avoir besoin de quelqu’un… comme moi ? — Ça, c’est dans notre tête. Nous aimons le sexe entre nous. Mais comme tous les couples, il nous arrive de fantasmer sur un trio. Mais jamais avec un autre homme. Ma Jacqueline de ce côté-là me suffit. — Je… je comprends ! — Ça te choque cette histoire de sexe ? C’est seulement une bizarrerie de la nature. Une erreur de celle-ci au tout début de la vie du fœtus. Et dans la plupart des cas, la personne porteuse de ces deux sexes vire du côté mâle ou femelle. Mais pour moi, je suis restée moitié-moitié et je bande aussi. Mais je peux tout à fait mouiller comme toi. Parce que j’ai senti quand je te limais sur la table de massage que tu étais trempée. — C’est vrai, j’ai bien aimé vos… actions sur moi. — Alors, ne crains rien. Tiens viens voir, touche, regarde. Jacqueline avait repris la main d’Adèle et elle l’attirait sur cette verge qui était encore au repos. La queue se mit à grossir entre les doigts de la rousse. Mue par une curiosité toute féminine, de sa seconde main elle enfonça un doigt dans la chatte qui sous la bite bavait déjà. Et puis attirée par ...
... l’envie, elle baissa la tête et se mit à sucer l’engin. Dans sa caboche les images s’entrechoquaient. Ce corps avait donc quatre endroits pour prendre du plaisir. L’autre semblait apprécier la double caresse. Quand donc Adèle eut-elle l’idée de mettre aussi un autre doigt dans l’anus de la femme qui geignait sous ses caresses ? Jacqueline se cabra, mais se mit à gémir encore plus fort. Sur son transat, Nathalie suivait la scène sans en perdre une miette. Et elle aussi se masturbait sans relâche. L’odeur de sexe arrivait aux narines du couple dont l’actrice principale était Jacqueline. Celle-ci ne cherchait pas à toucher la nana qui s’occupait d’elle. Non ! Elle se laissait faire en râlant. Et dans cet espace clos, les sons se propageaient en formant une sorte d’écho. Puis les trois femmes s’étaient réunies dans un seul et unique bouquet. Des bouches, des lèvres s’autorisaient mille privautés. Personne n’était mis à l’écart et tous les sexes subirent des assauts réitérés de la part de leurs partenaires, régulières ou occasionnelles. Les heures filaient à une vitesse vertigineuse. Et Adèle connut le plaisir de faire l’amour avec l’homme femme. Si le jonc n’était pas surdimensionné, Jacqueline s’en servait fort habilement et elle sut faire jouir la belle. Elle suivit aussi les coups de bassins véhéments donnés par cette même Jacqueline qui prenait sa compagne en levrette avec une hargne toute particulière. Elle constata également que la chatte de l’hermaphrodite pouvait aussi ...