1. Le voyage de Mathilde


    Datte: 16/06/2017, Catégories: f, ff, hotel, train, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... étonnée de me trouver dans cet endroit insolite, nue sous les draps. Je sens alors une douce chaleur envahir mon corps, et sans m’en rendre compte je laisse mes doigts jouer avec la toison qui orne ma chatte. Mon autre main se pose sur un sein et tout de suite je sens le mamelon se gonfler. Ce réveil calme me rend attentive à moi-même. Mes doigts s’insinuent entre les lèvres de mon sexe, trouvent le clitoris déjà sorti de sa gaine qui pointe sa rondeur comme un appel aux caresses. Le bruit d’une serrure que l’on veut ouvrir interrompt mon mouvement. Je me lève, passe ma robe de chambre et m’approche de la porte. — Qu’y a-t-il ? demandé-je encore toute troublée du plaisir interrompu.— Service de table, s’il vous plaît. C’est le petit déjeuner.— Merci, je n’ai besoin de rien.— Bien, Madame. Je me recouche mais le charme est rompu, et après quelques essais infructueux je me rends compte que mon petit clito refuse de sortir de son étui rose et j’abandonne. Peut-être aurais-je dû ouvrir à ce garçon, mais j’étais trop occupée pour laisser à un autre le soin de me faire descendre dans les profondeurs du plaisir. Je décide donc de me lever. Je fais couler l’eau dans le petit évier et je me regarde dans le miroir avec une légère moue de satisfaction. Comment est-il possible qu’un homme normalement constitué puisse rester de marbre devant mes seins fermes qui tiennent à peine dans une main ? Et mon ventre à peine bombé à hauteur du nombril, qui surmonte une toison châtain clair. ...
    ... Celle-ci ne cache rien de la longue fente ouverte sur deux petites lèvres épaisses, larges, et très visibles. Je me souris en me disant que je n’ai rien à envier à ces soi-disant vedettes du show-business ou à ces mannequins filiformes qui n’ont que leur visage pour attirer les hommes. J’ai les jambes longues et bien galbées, et l’on dit que mes fesses sont faites pour les caresses. Elles sont bien rondes, et l’un de mes anciens amants m’appelait « sa Vénus callipyge », prétendant que j’avais le cul d’une statue grecque. J’arrête car je me sens devenir vaniteuse. Je fais ma toilette, insistant sur mes seins et ma chatte qui s’ouvre sous mes doigts. Mais trêve de plaisirs, je dois me presser car le train va bientôt arriver à Bayonne et je dois prendre mon petit déjeuner avant Biarritz si je veux encore profiter du luxe du wagon-restaurant. J’enfile une robe légère très courte à mi-cuisses et au décolleté plongeant. Tant pis, je ne mets ni soutien-gorge, ni petite culotte. Au diable la vertu ! Celui qui me surprendra sera bien étonné et, peut-être, ravi. Sait-on jamais. J’ai bien le droit de vivre un peu après cette morne éternité auprès d’un individu falot et vaniteux. Au wagon-restaurant, je m’installe à une table dans la lumière et je ne fais en m’asseyant aucun effort pour dissimuler mes jambes. Ma robe les découvre presque jusqu’à la fourche poilue. Le garçon me présente la carte, jetant au passage un œil curieux sur mes cuisses bien dégagées. Je les écarte légèrement et je ...
«1234...»