1. Un goût de clandestinité


    Datte: 14/04/2019, Catégories: fh, extracon, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, fdanus, fsodo,

    ... plus loin. À nouveau il me plia en remontant mes fesses et à nouveau me remplit, mais cette fois par l’autre orifice. Je fermais les yeux, réprimant mes gémissements. J’avais à la fois chaud et froid, dans la position la plus intime qui soit et à l’extérieur, dedans, dehors, tout se mêlait dans ma tête dans une transe étrange. Je lâchais prise et le plaisir m’envahissait. Des voix s’élevèrent de la cour intérieure. Sûrement le personnel du bar en rez-de-chaussée. Soudain un cri s’éleva distinctement : « Va te faire enculer ! » Polo se figea et nous partîmes dans un éclat de rire. Il commençait à faire trop froid pour être dehors. Polo se retira et m’aida à me relever. Une fois dans le salon-cuisine, je le regardai s’affairer à préparer un thé vert au jasmin, n’osant m’asseoir de peur de tacher le mobilier. De vraies feuilles dans une vraie théière, la classe ! Puis il se pencha en avant pour déplier le canapé. C’était trop tentant, et comme on dit, tout cul tendu… Il se redressa d’un coup sec, surpris de mon audace, et m’envoya valdinguer sur le canapé. Écroulée de rire, je m’enfouis dans les coussins tandis qu’il me fessait en retour. — T’as de la chance que je ne puisse pas te faire de marques ! Je repris mon souffle, ainsi que mon amant dans mes bras. — J’ai de la chance… ou pas. Peut-être que j’aimerais ça ?— Non, pas de morsure, pas de griffure, pas de suçon. Et pas de textos en dehors des heures de bureau. Tout est, bien entendu, supprimé après lecture. Quelle ...
    ... organisation ! Quand on veut manger avec le diable, il faut avoir une longue cuillère… J’acquiesçai tout en sachant pertinemment que je ne pourrais pas supprimer les textos. Bien calée dans les coussins, j’en profitais pour partir à la découverte de sa peau, comptant ses grains de beauté, ses cicatrices… Polo prit une gorgée de thé chaud dans sa bouche et l’injecta directement dans la mienne. Un goût intense, puissant et délicat à la fois. Parfaitement infusé, ni fade, ni amer. Je me régalais de ces gorgées distillées au bouche-à-bouche sans voir le temps passer. — Tu aimes que je te plie en deux comme ça ? demanda soudain mon nourricier.— Je suis souple, assurai-je.— J’ai vu. Je te demande si tu aimes. Je restais stupéfaite. — Euh… moyen, avouai-je— OK. D’autres choses que tu aimes moyennement ? Polo continua de me questionner sur ce que j’aimais, ce que je n’aimais pas, ce qui me faisait jouir, et quantité d’autres choses auxquelles je n’avais jamais vraiment réfléchi. Quand je répondais timidement il me scrutait, cherchant à savoir si j’étais sincère ou si je répondais juste pour lui faire plaisir. J’étais complètement décontenancée. Voilà un peu plus de dix ans que je n’étais plus vierge, que j’avais eu un peu moins d’une dizaine de partenaires, dont une fille inoubliable… De l’amoureux transi et tendre qui prend mille précautions, au coup d’un soir intense où il faut se rhabiller à la minute où le gars a éjaculé, je ne me rappelais pas avoir jamais été autant écoutée. L’heure ...