L'héritier de Protée (3)
Datte: 14/04/2019,
Catégories:
Lesbienne
... sa langue. Je reprends vie. Mais si elle croit s’en tirer comme çà, elle se trompe lourdement, certes oui ! C’est là que je vois à quel point le corps que j’habite est vigoureux. Je la prends subitement par l’épaule et la renverse sans effort sur le dos, presque brutalement. Je m’allonge sur elle et l’embrasse à mon tour avec passion. Puis je fais comme elle, je descends vers ses seins en m’appliquant à imiter ses caresses. Elle est tellement experte, jamais je n’aurai jamais imaginé ressentir autant de plaisir. Je joue avec sa lourde poitrine, m’amuse avec ses piercings. Elle gémit sous mes caresses, je suis sur la bonne voie. Puis c’est le tour de sa chatte, de son clitoris, de son vagin que j’agace de mes doigts et de ma langue, prenant soin d’imiter ses caresses. - Oh oui Christine, ouiiiii, je t’aime ! Elle jouit violemment à son tour. Un jet de liquide mouille mon visage. Je remonte, m’allonge sur elle en m’insinuant entre ses cuisses, l’embrasse à pleine bouche. Instinctivement, je donne des coups de rein, comme si un pénis invisible avait pénétré mon amante… owioaafg - Attend, me dit-elle, tu me donnes envie. On va se faire encore plus de bien. Elle m’écarte, ouvre un tiroir de la commode. Je découvre avec étonnement plusieurs sextoys. Elle prend un double dong bien sage en latex, une trentaine de centimètres d’un diamètre réaliste. Je suis à genoux sur le lit. Elle positionne un bout à l’entrée de mon vagin, puis avec douceur le fait pénétrer en moi, m’arrachant de ...
... nouveaux gémissements. Il est plus petit que le concombre, mais mon corps se ressent encore de la séance de la matinée. Elle bascule en arrière, écarte largement ses cuisses. - Viens, dit-elle légèrement haletante, viens me prendre ! Je la pénètre avec une facilité dérisoire. Sa chatte est détrempée. La mienne aussi. Elle gémit, et j’entame des allers retour. Je frissonne. Je me comporte comme un homme. Je vais et je viens. Nous gémissons à l’unisson. On s’embrasse. Je m’amuse avec ses anneaux, les prend en bouche, étire ses seins. Elle mordille les miens, on se caresse et la jouissance nous prend presque simultanément avec une telle violence que le double dong vole hors de notre sexe, nous arrachant un cri. Je retombe sur elle, épuisée, haletante. Et Magali est dans le même état. Mais manifestement elle n’en a pas encore assez. - Tu es merveilleuse, me dit-elle, j’ai encore envie… Tu me suis ? - Tout ce que tu voudras ma chérie. J’ai dit «ma chérie» ! C’est clair j’ai perdu la tête. J’ai réagi en femme, en amante. Mais que c’est bon, oh là là, que c’est bon… Elle se penche à nouveau sur le tiroir de la commode et en sort un autre double dong. Mais cette fois je n’en crois pas mes yeux. L’engin est énorme, il doit faire dans cinquante centimètres de long et six centimètres de diamètre ! - Tu es folle ! dis-je effrayée, çà ne passera jamais, c’est trop gros ! Innocente que je suis… Magali me caresse gentiment le visage - Mais si ma chérie, c’est bien moins gros qu’un bébé à la ...