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LE DÉPRAVÉ. (1/1)
Datte: 21/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je me présente, Christian Vicomte de la Cramouille, nom difficile à porter mais nom descendant directement du roi de France avant que des connards décident de lui couper la tête. Il reste de notre splendeur notre maison familiale à ma sœur et à moi. Notre castel se trouve à Neuilly et pour rien au monde nous n’accepterions de la vendre. Ma sœur est absente aujourd’hui car elle est partie pour l’Angleterre récupérer ma future épouse Élodie jeune femme de bonne famille de 19 ans dont les parents ont accepté notre union étant fier que leur fille devienne Vicomtesse de la Cramouille et ainsi que leur famille roturière entre dans la haute noblesse de France. Alors qu’à trente ans les filles ont toujours été pour moi des êtres repoussants, ma sœur a fini par me convaincre que ce mariage réglera presque tous nos problèmes. La noce doit avoir lieu dans trois jours. Il est inconcevable qu’un noble comme moi se marie en catimini. Là encore ma sœur Marie duchesse de La Chatte par son mariage, suivi hélas d’un divorce lorsque son mari s’est aperçu que le seul but que nous poursuivons était de vivre à leurs crochets s’est occupée de tout. Cette période nous a tout de même permis de leur gratter assez d’argent pour refaire le toit de notre résidence mais le divorce entraînant les vivres coupés est survenu avant d’avoir réussi à leur faire changer la chaudière. Ce mois de décembre est froid et en les attendant, je suis dans notre salon ...
... avec trois pulls. Quand elle arrive, cette jolie blonde m’est complètement indifférente. Ce m’est qu’un sexe féminin de plus et j’ai du mal à m’imaginer la baiser un jour. Quoi que, la sodomiser peut-être car c’est ma pratique depuis mon adolescence. C’est d’ailleurs l’une de mes principales sources de revenus depuis que je fréquente une boîte glauque où des hommes vieux aiment se payer des hommes jeunes d’un peu plus de trente ans. À peine installé, le froid nous rappelle qu’il nous faut trouver de l’argent. Je m’habile avec mes tenues pour ce genre d’endroit pendant que ma sœur prête des affaires sexy à ma future femme. Elle semble surprise du lieu où je l’emmène mais comme son éducation lui interdit de poser des questions, elle nous suit sous Paris dans cet endroit improbable pour des personnes de notre rang qu’est le métro parisien. Nous arrivons près d’une boîte où ma sœur est aussi connue que moi car les hommes qui s’y trouvent même s’ils sont contents de me voir aiment aussi sa bouche qui leur pratique de très belles fellations. Dès qu’elle a ferré un premier client, je la vois empocher l’argent et partir avec Élodie vers les alcôves qui tapissent l’arrière-salle. Dix minutes et je les vois revenir ma future en larmes. Entre-temps, un vieux baron ou du moins c’est ce qu’il dit être s’intéresser de très près à moi. Nous faisons affaire et je passe devant lui pour franchir le rideau. Je suis en train de me préparer lorsque j’entends des personnes arriver dans l’alcôve à ...