1. LE DÉPRAVÉ. (1/1)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... horreur que l’on me prenne pour une bille et que sa famille est crue s’acheter un titre aux moindres frais. Elle porte le titre, mais moi je récupère une jolie petite pute. Après le dernier client satisfait nous rentrons et je lui permets de prendre un bain dans ma baignoire à l’eau froide bien sûr. Je l’attends pour respecter la tradition de la nuit de noces et après l’avoir fait mettre en levrette, je m’introduis dans sa rosette lieu de grand, voire de très grands plaisirs surtout comme je le présentais car elle est vierge de l’anus malgré la nuit de débauche que je viens de lui offrir. Au matin, elle a quitté le lit conjugal pour retourner vers ma sœur qui vient de rentrer. Pendant deux ans, nous vivons de tout et de rien. Une fois par mois elle retourne à Barbès et chaque fois la queue est de plus en plus grande. Comme elle semble apprécier la sodomie, les clients affluent chaque fois qu’elle est là. La dernière fois où nous nous y sommes rendues, j’ai même été obligé de mettre la main à la pâte pour qu’elle ait terminé avant le jour . Du fric et du plaisir tel est ma dépravation. Au mois de décembre, malgré la chaudière qui a redémarré j’attrape une pneumonie et pendant un mois je suis entre la vie et la mort. Nous n’avons aucune couverture médicale que nous aurions été bien incapables de payer. Docteur et médicaments ont raison de ce qu’il nous reste d’argent. Pendant trois semaines Élodie est restée près de moi à m’éponger le front tellement la fièvre me fait sortir ...
    ... d’eau de mon corps. Malgré deux couvertures, je frissonne et elle trouve naturelle à se mettre nue devant moi et de venir me couvrir de son corps pour me réchauffer dans ma couche. Pour la première fois je retrouve les années de ma petite enfance où les matins quand mon père était parti ma mère ouvraient ses draps pour que je me love près de son corps nu. Au début de ma puberté, mon sexe a commencé à ce tendre, mais jamais je n’aurais franchi le stade qui m’a conduit aux dépravations qui jalonnent ma vie. Au fure et à mesure que mon mal disparaît le contact de son corps me met dans de mêmes dispositions que dans ma jeunesse. C’est tout naturellement qu’au matin de la quatrième semaine, mon sexe entre dans la chatte de ma femme. Contrairement à ce que je pensais, cette grotte est chaude et profonde et j’en tire même de plus en plus de plaisir. Le moment le plus important de ma transformation c’est quand de moi-même je lui prends la bouche et que nous avons un baiser fusionnel. Tout arrive à qui sait attendre car je sens en moi les prémices à un amour naissant. Me voyant allé de miens en miens, elle a l’impudeur de se lever et de déambuler nue dans notre chambre. J’admire la grâce de ses formes et lorsque je rêve c’est sa vulve qui me vient à l’esprit et non plus des formes phalliques. Marie pour sa part continue à nous approvisionner après des nuits qui doivent la conduire dans nos lieux de perdition. Un soir, je vois Élodie partir de la chambre et revenir avec la tenue qu’hélas ...