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LE DÉPRAVÉ. (1/1)
Datte: 21/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,
... côté. La voix est celle de ma sœur qui sermonne Élodie qui semble refuser son deuxième client. Elle la persuade que ce qu’elle a fait une fois pour la famille, elle peut le faire autant de fois que nous en aurons besoin. Un bruit de bouche suçant une bite me fait dire qu’elle a été persuasive car dans la demi-heure que je passe avec le vieux beau l’une ou l’autre reviennent trois fois. Après avoir remis mes vêtements, je rejoins la salle quand je vois Élodie tenant un client par la main. Elle me croise sans me regarder, je reviens sur mes pas au moment où elle ouvre la bouche pour que l’homme se vide en elle. Jusqu’à la fermeture, nous redoublons d’ardeur ainsi que les filles, généreux je leur offre un taxi pour entrer. À la maison, ma sœur emmène la petite dans sa chambre afin d’éviter qu’elle n’ait une mauvaise réaction après ce qu’elle vient de subir et dans quelle famille elle est tombée. Je connais les tendances de ma sœur qui si elle suce, refuse son intimité à tous les hommes depuis son divorce. Les filles semblent être son nouveau plaisir et je pense que si Élodie l’a suivi sans trop rechigner, elle est pour beaucoup dans la situation. Pour m’en convaincre lorsque je vais boire mon verre de lait du soir, les gémissements que j’entends dans leur chambre sont ceux de Marie car depuis que des seins lui sont poussés je reconnaîtrai ses gémissements entre milles. Le jour du mariage arrive et ma future femme m’est amenée devant le maire dans la salle des mariages de ...
... notre ville au bras de son père. Les ouis, bagues et registres expédiés, le repas est à la hauteur de notre rang comme je l’espérais payer intégralement par mon beau-père. Ce mariage fut le point d’orges de nombreuses tractations avec lui car il voulait que moi Vicomte de la Cramouille je vienne chez nos ennemis de toujours depuis qu’un de mes ancêtres a été tué à la bagarre de Trafalgar. Je dois être pour une fois honnête, il est mort du scorbut maladie très fréquente sur les bateaux à cette époque. Marie a fini par les convaincre que le mariage aurait lieu dans notre ville et surtout dans notre maison familiale ancestrale. Au moment de danser, mon beau-père demande s’il peut me parler. Une mauvaise affaire est survenue et il lui est impossible de payer les frais de la noce. Il me demande de l’aider, qu’il me remboursera dès que ses comptes redeviendront positifs. Là où j’aurais pu avoir des scrupules à minuit, je pars avec ma femme lui offrir sa nuit de noces plantant là les quelques invités surtout anglais qui avaient franchi le bras de mer qui sépare nos deux pays. Nous prenons un taxi pour nous rendre plus vite à Barbès. Nous descendons devant une maison où je connais le patron et où je suis sûr qu’elle remplacera son père pour le paiement. C’est avec sa robe de mariée toujours sur elle que je vois le premier client de ce bordel lui prendre sa virginité. À chaque client qui se succède, j’empoche l’argent que les gars sortent de leur poche. Je n’ai aucun scrupule car j’ai ...