1. Les peintres


    Datte: 17/04/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, couleurs, extracon, fsoumise, cérébral, Oral pénétratio, confession, amourcach, extraconj,

    ... habillée comme un sac de patates ! Je bougonne, assure le service minimum au dîner, et prétexte une forte migraine au coucher pour éviter toute tentative dedevoir conjugalde sa part. Au cours de la nuit, je me repasse le film de la journée. Après réflexion, je décide de changer de stratégie, j’ai voulu ces travaux, je dois les assumer. Je reçois les ouvriers en robe de chambre, n’esquive pas le baiser mouillé et la main baladeuse de mon mari devant eux à son départ. Je choisis une petite robe printanière, malgré mon armature d’allaitement, blanche et rose, plutôt courte et décolletée devant. Lorsque je ressors de la salle de bain, les deux hommes s’arrêtent, rouleaux à la main, et me regardent sans vergogne. Manuel émet un sifflement et me lance : — Que vous êtes belle, aujourd’hui, ma petite dame !— Ah bon, je ne l’étais pas hier ? dis-je, espiègle.— Ce n’est pas ce que je voulais dire, répond Manuel, gêné. Rachid me fait alors un grand sourire radieux. Je lui rends son sourire tout en soutenant son regard. Après la promenade matinale avec Camille, je rejoins les deux peintres, et leur propose un apéritif qu’ils acceptent avec enthousiasme. Nous trinquons, Manuel m’engloutit sous son verbiage incessant, Rachid ne cesse de fixer mon buste. Finalement, son regard me flatte. Le portugais me fait goûter le pâté fait par une de ses concitoyennes, il est excellent. Tout l’après-midi, je vaque, virevoltante, à mes occupations, feignant l’indifférence aux deux hommes qui ...
    ... m’entourent. À l’heure de leur départ, je les remercie, ils ont fini la chambre, remis les meubles, transposés ceux du salon et attaqué la peinture de celui-ci. Manuel s’approche de moi, et me claque un gros baiser sur la joue, Rachid l’imite. Une fois partis, je sens encore l’empreinte de la main qu’il a fermement appuyée sur ma hanche en m’embrassant… J’ai même un peu de peinture sur ma robe. Le jeudi matin, Stéphane répète son petit jeu pas si innocent en dévoilant mes jambes au-dessus des genoux devant les ouvriers au moment de partir, et a le culot de leur dire : — Les gars, vous savez, Elodie a la plus jolie poitrine du quartier, tout en me pinçant un téton à travers le tissu. Comme l’allaitement m’a rendue hypersensible, je ne peux esquiver un petit cri de douleur. En plus, il m’a provoqué une montée de lait qui a taché ma robe de chambre ! Les deux peintres rigolent de mon embarras. Vêtue d’une jupe courte et d’un corsage blanc, je rejoins le parc avec Camille. Je papote avec les autres mamans. Aujourd’hui, le thème est coquin : nous abordons nos problèmes de sexualité en retour de couches. Visiblement, les ressentis sont divers et variés. À notre retour, après avoir donné le sein à Camille, je trinque avec les deux gars. Manuel a amené une bouteille de porto, et insiste pour que j’en reprenne. Je dois, après le deuxième verre, lui souligner que, nourrissant ma fille, je ne peux pas faire d’excès. Je déjeune avec eux, toujours saoulée par l’incessant flot de paroles que déverse ...
«1...345...8»