1. Les peintres


    Datte: 17/04/2019, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, couleurs, extracon, fsoumise, cérébral, Oral pénétratio, confession, amourcach, extraconj,

    ... professionnelle, de mon côté bourgeoise coincée, etc. Lorsque, après avoir couché la petite, je rejoins le lit conjugal, Steph me saute dessus. Pour la première fois depuis mon accouchement, je prends du plaisir à être pilonnée par mon homme ! Pourtant, alors que d’habitude, lorsque ma sensualité est comblée, je dors profondément, j’ai cette fois-ci un sommeil agité entre deux tétées nocturnes. Je revois les yeux noirs de Rachid sur mes formes, je m’imagine faisant un effeuillage devant les deux peintres. Je culpabilise en me disant qu’il me faut passer une journée avec deux mâles pour enfin retrouver du plaisir avec le mien. Je termine ma toilette lorsque la sonnette teinte. Stéphane ouvre et m’appelle : les deux artistes sont là, je suis en robe de chambre, et mon mari m’embrasse tout en me tripotant les fesses, ce qui a pour effet de remonter le tissu assez haut sur mes cuisses, et me lance : — Bon, je file au bureau. Sois gentille avec ces messieurs ! Évidemment, ils se gaussent, et je file, furieuse, dans ma chambre pour m’habiller après en avoir fermé la porte à clé. Je choisis, malgré le beau temps, une tenue proche de celle que j’arborais chez les bonnes sœurs, me congédie sèchement des peintres et sors promener Camille. Ça me calme un peu. À mon retour, ils m’annoncent avoir fini la chambre du bébé et s’attaquent à la nôtre. Après avoir, enfermée dans la cuisine, nourri Camille, je les assiste pour le déplacement des meubles d’une pièce à l’autre. Le hic est que je ...
    ... vais devoir à présent traverser le chantier pour accéder à la salle de bain, et que le lit conjugal trône au milieu du salon. Merci l’intimité ! Je me sens toujours observée dans tous mes gestes par Rachid. Je fuis son regard. Je décide d’aller déjeuner chez mes beaux-parents et leur annonce que je ne serai de retour qu’en fin d’après-midi. Ils s’installent à la cuisine pour déjeuner ; aujourd’hui, ils n’auront pas droit au café. Au cours du trajet, je suis perturbée. Je m’en veux d’être aussi sensible à leur regard, de ne plus avoir un coin pour moi pendant le temps des travaux, de la manière machiste dont Steph m’a traitée devant eux. Je me venge en étant assez odieuse avec ma belle-mère… Je prends soin de ne revenir que juste à l’heure où ils finissent, les croisant juste pour un sec : — À demain. La peinture de la chambre est bien avancée, mais le salon est un véritable capharnaüm dans lequel il est bien difficile de circuler. Probablement perturbée, Camille pleure plus que d’habitude en cette fin de journée. Lorsque Steph, rentre, il me raille : — Alors, comment s’est passé cette cohabitation avec les artistes, aujourd’hui ? En plus de ça, il se fiche de moi ! Je lui réponds sèchement : — Avec ta mère, c’était pénible ! En plus, tu vas dormir dans le salon !— Du moment que je puisse te faire un gros câlin, je m’en fiche. D’ailleurs, il y a longtemps que nous n’avons pas fait ça au salon, ça m’excite ! me rétorque-t-il en se fichant de moi. Dommage qu’aujourd’hui, tu sois ...
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