1. Bourgeoise remplie au sperme (3)


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Et nous sortîmes en encadrant de près notre belle compagne... de peur qu’elle ne se réfugie dans son appartement. Elle prit le volant de la Jaguar. Nous sortîmes de la cour et prîmes à droite l’avenue Foch. Florian s’était assis à côté de la conductrice. Pendant qu’elle conduisait, il lui avait introduit les doigts dans la chatte et, de temps en temps, les ressortait pour nous faire voir : "Z’avez vu, elle mouille encore la salope" puis il les léchait et recommençait. Dès que Marie-Clothilde essayait d’ouvrir la bouche il lui disait : "Ta gueule, conduis" ! Et lui indiquais les directions : "Prends à gauche vers la Catho" ! Il nous menait donc, par la rue Paul Bert, vers le sud. On roulait lentement, fenêtre conductrice ouverte. Après, l’itinéraire nous dirigeait, par la rue Rabelais puis l’avenue De Lattre de Tassigny, en direction des Ponts de Cé. Je connaissais vaguement Jules. Je savais juste de lui qu’il avait 19 ans, travaillait comme couvreur et qu’à ses moments perdus il pratiquait la musculation de façon intensive. Il était petit mais très costaud, tout en masse. Les rares fois où je l’avais vu nu dans les vestiaires de la salle de sport, j’avais été impressionné par son sexe très poilu et surtout très gros, un vrai cylindre que le prépuce ne recouvrait pas entièrement, laissant apparaitre l’extrémité du gland. Il habitait la Roseraie, un quartier populaire du sud-ouest d’Angers et c’est bien la direction que nous avions prise. Au rond point, à l’intersection avec ...
    ... le boulevard Joseph Bédier, le feu passa au orange, puis au rouge. Nous étions sur la file de droite, prêts à tourner et un véhicule, une camionnette avec deux types dedans, s’arrêta sur notre gauche. Machinalement le mec le plus proche regarda vers nous. Marie-Clothilde, on se le rappelle, ne portait plus que la veste de son tailleur sans rien en dessous. Et comme le bouton était assez bas, il n’était pas difficile de voir la quasi totalité des seins, surtout si, comme le type qui était dans la fourgonnette, on dominait un peu la scène en hauteur. Florian doigtait toujours, sans retenue, tourné et penché vers elle, le bras gauche passé derrière l’appui-tête du siège et lui déversant un flot de saloperies à voix basse. "Arrêtez... je crois qu’on nous regarde..." - Ta gueule grognasse ! - S’il vous plait ! - S’il vous plaît rien du tout. T’es une vraie pute à jus. Les mecs vont se rincer l’œil, crois-moi ! Couverte de honte, ma logeuse regardait droit devant elle et se cramponnait au volant, attendant désespérément que le feu passe au vert. Le type avait donné un coup de coude à son conducteur qui se démenait pour en voir davantage. Florian retira ses doigts trempés du sexe de la conductrice, ouvrit les bouton du tailleur dégageant l’opulente poitrine. Puis il sortit son sexe turgescent de son pantalon dont il avait laissé la braguette ouverte, à toutes fins utiles sans doute. Le gros nœud luisant parut dans toute sa splendeur. Il le branla un peu et mit le sein gauche dans sa ...
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