1. Bourgeoise remplie au sperme (3)


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Je crus que nous venions de mettre fin à une belle amitié mais Raymond reprit : "Te biles pas. Le coup de ce soir ça m’a donné des idées. Plutôt que de te la baiser derrière mon dos, on pourra la fourrer ensemble. De toute façon elle me fait cocu à tour de bras cette truie". - Ah ben, si tu le prends comme çà ! - Et pis elle est mieux que ta femme ! - Ça c’est sûr. Je n’entendis que des éclats de rire au moment où ils fermèrent leurs portières. Puis ils repartirent à grand bruit. Marie-Clothilde ne s’était pas relevée. Elle gisait assise, une main appuyée sur le sol, couverte de pisse. "Allez salope, lève-toi... La soirée n’est pas terminée. Y’a encore de bonnes queues qui t’attendent". - Non, laissez-moi maintenant... je suis sale, dégoutante, je veux rentrer... - Te laisse pas aller... on est là... aller, lève-toi... Enlève tes affaires...Jean s’te plait, file -moi ton T-shirt ! - Mon T-shirt, pourquoi faire ? - Fais- pas chier, donne! Vlad, ton calebut. - Mon froc... j’ai rien en dessous, je vais me retrouver la bite à l’air ! - Genre, ça va te gêner ! Florian avait parlé d’autorité. Il n’y avait pas a discuté. Vladimir se retrouva en polo les couilles au vent pendant que moi, torse nu, je regardai Florian essuyer ma propriétaire avec mon T-shirt. Quand elle fut à peu près sèche, elle enfila le pantalon de Vladimir, trop grand pour elle, et la chemise de Florian. Après avoir mis les fringues pleines de pisse dans la coffre, nous reprîmes la route. Il n’y avait à peine ...
    ... deux kilomètres encore pour nous trouver à destination. Jules nous attendait devant une barre d’immeuble, en tongs en survêt et en marcel. Nous descendîmes de la voiture à l’exception de Vladimir à que Florian promit de revenir avec des fringues. Nous fîmes les présentations à Jules. "Voila la meuf". Sans cérémonie Jules s’approcha, mit sa main entre les jambes de mon infortunée logeuse, lui roula une méga pelle et lui dit :" Salut-toi... C’est toi la bourge chaude ? Putain ça va être trop bon ! On y va" ? Sa trique s’était dressée et pontait droit devant sous le survêtement tendu d’une gigantesque excroissance. Il nous précéda vers le sous-sol suivi de la femme qui avançait tête baissée comme une condamnée et que nous escortions de très près. Nous marchâmes plusieurs dizaines de mètres dans un couloir sombre et étroit où des murs de briques et des portes de planches séparaient les lieux en de multiples cases. Après un virage, une porte était ouverte d’où se dégageait l’intense lumière d’un projecteur de chantier. Jules nous arrêta : "fous-toi à poil". Marie-Clothilde obéit immédiatement. "Oh putain, les nibards ! Entre !" Quatre types attendaient dans cette pièce exigüe. Un vieux matelas était posé au sol et des meubles délabrés étaient entassés çà et là. Les quatre mecs étaient torses nus. Dès qu’ils virent entrer la femme, ils poussèrent des cris de joie et l’un ordonna : "A quatre pattes salope". Et pendant qu’elle s’installa, Jules baissa son froc, libérant l’énorme bite ...