1. Bourgeoise remplie au sperme (3)


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... main, le soupesa, le caressa en épousant son galbe et se mit à léchouiller le téton. La femme protestait : "Arrêtez, arrêtez...." Le visage bouffi des deux vicieux avait viré au pourpre comme si l’apoplexie les guettait, les yeux exorbités, la langue pantelante et la bave au lèvres. Le passager baissa sa vitre : "Elle est plutôt taquine vot’ dame là ! On lui boufferait le cul comme un panier de fraise" ! L’autre ajouta, mi-sérieux mi rigolard :"Vous voulez pas un coup de main" ? - Un coup de main, Non ! par contre un coup de bite, elle veut bien. Elle est chaude là . Vous nous suivez ? Les deux mecs se regardèrent d’un air qui veut dire : "C’est du lard ou du cochon" ? Ils optèrent pour le cochon. Après tout, ils ne risquaient rien à nous suivre. Quand le feu vira au vert, ils laissèrent passer les deux voitures qui nous suivaient puis nous vinrent derrière nous à droite. "Gare-toi" ! Elle obéit. La camionnette se mit sur l’emplacement devant nous. Florian sortit. Il discuta deux minutes avec les types qui descendirent à leur tour avant ouvrir l’arrière de leur véhicule et y monter. "Viens" ! - Non, non. Je ne les connais pas... et puis ils ne sont pas très... - Madame ne veut que des jeunes, des athlètes... patience, tu va en avoir tout à l’heure. Il ouvrit la portière et empoigna vigoureusement sa proie qui n’eut d’autre solution que de suivre, la poitrine visible de tout le boulevard où d’ailleurs ne passait personne. Il est vrai que les hommes n’étaient pas de la ...
    ... première jeunesse. On avait là deux spécimens de quinquagénaires bedonnants, en marcels tachés et jeans sales, dégoulinant de sueur, poilus du torse et des bras, mal rasés et presque chauves. Florian s’enferma avec eux. "Vous tracassez pas, on se donne le tour" nous dit-il. Il ressortit au bout de quatre à cinq minutes, le temps pour nous d’apercevoir la femme pliée en deux suçant un mec devant et se faisant tringler derrière. Gurvan se précipita... il n’avait pas oublié son appareil photo et nous vîmes les flashs crépiter à travers les vitres opaques de l’utilitaire transformé en bordel de rencontre. Pendant que nous attendions, en commentant l’affaire, le portable de Florian sonna : "Ouais Jules... tout près de chez toi... Non, non on arrive, on a trouvé deux mecs qui sont en train de la sauter dans leur camionnette... si, si je t’assure... on te montrera les photos....Quoi ? Je sais pas.... Y’a dix minutes là.... J’en sais rien pour combien de temps ils en ont, j’les connais pas ces mecs... mais ils la remplissent et on arrive. T’es dans ta cave... Celle de qui? Non je sais pas, je le connais pas... ouais peut-être... attends-nous dehors alors. Je te textote dès qu’ils l’ont terminée !" Puis, se tournant vers moi : "Jean, vas-y. Jules s’impatiente" J’entrais dans la camionnette, en me cognant le crane au moment où le chauffeur jouissait dans la bouche. Cette petite promenade en voiture, avec les vitres avant à moitié ouvertes, avait réveillé mes sens, dont l’odorat, et il fallait ...