Les malheurs de Gustave (3) - Histoires de Sexe

Les malheurs de Gustave (3)

... déplacements puis un peu de calme avant une suite de soupirs venant de différents coins du dortoir. Mais on ne voit pas bien qui fait quoi. Gustave qui faisait aussi partie du séminaire sent tout d’un coup une présence à ses cotés. – Merde, pense-t-il, c’est qui, la secrétaire ou ma mère. Il envoie ses mains en exploration et atterri sur une poitrine qu’il tâte, cela ne lui dit rien, il se dit que peut-être ailleurs ce sera plus parlant et glisse sa main dans le pantalon de training. Bizarre, mais j’ai l’impression que c’est plutôt rasé, ni maman, ni la secrétaire se rasent le minou. Je vais aller mettre mon nez pour voir si je détecte quelque chose. Simultanément, il sent une main qui se promène sur lui, effleure ses pectoraux en soulevant son pyjama et une langue qui attrape son téton gauche. La main descend, descend jusqu’à arriver où elle devait ou ne devait pas arriver selon les critères du Vatican, elle se saisit du dard et délicatement le retrousse. « Ça y est, j’ai reconnu la façon de me retrousser le prépuce, c’est la doctoresse. Elle m’avait dit que j’étais bien monté, je pense qu’elle veut vérifier si c’est vrai. Mais quel fait-elle, elle est en train de me prendre la bite dans la bouche, on a pas pu se laver, cela doit avoir un sacré parfum. Mais elle retire ses fringues à ce que je vois, vraiment elle veut se faire tringler l’abricot. Elle met maintenant ses jambes de chaque coté de mes épaules, mais quand même ! Elle descend sa moule sur ma bouche, je ne sais ...

... pas si cela remplace le petit kirsch à la fin de la fondue, mais c’est quand même un peu fort comme odeur, on voit que la douche n’a pas passé ce soir, tiens le goût est en train de changé, j’aime mieux, cela sent moins le ouin ouin, lançons la langue à l’assaut de son clito. OH ! C’est pas un petit rien du tout, il faut que je le prenne doucement si je me souviens bien des conseils de maman, je vais plutôt l’aspirer et juste lui taquiner l’extrémité avec la langue. Tiens, j’ai l’impression que l’on s’imite. Elle me fait la même chose simultanément. On va voir si elle va me copier, je glisse un doigt dans son trou qui est bien mouillé maintenant. Ah ! La salope, elle me masse le fion et me lance un doigt dans le cul. Je m’arrache à son emprise et me retourne en lui plaquant un gros patin sur la bouche, je sens sa langue qui vient dire bonsoir à la mienne, elles se font des politesses. J’en profite pour tâter sa poitrine, j’aime bien, elle est bien proportionnée. Mais quelle est cette main qui maintenant me caresse les fesses, elle n’a pas trois mains. Je parie que c’est maman que je sens tout à coté.» Elle se penche tout doucement : – Elle est pas mal hein, tu m’en laisseras un peu ! Dit Nelly, sans préciser ce qu’il faut laisser un peu. Elle glisse sa main entre les deux corps et saisit la tige bien bandée de son fils et la dirige vers la grotte de sa copine. – Oups, je savais que tu étais important, mais pas à ce point gémit la doctoresse. Je la sens passer, il n’y a pas de ...