Les malheurs de Gustave (3) - Histoires de Sexe

Les malheurs de Gustave (3)

... même dans le noir resplendi comme un appel. Je crois que j’ai trouvé un complément de dessert à notre fondue, un bon coup du milieu. Je te laisse continuer l’exploration. En longeant la secrétaire qui s’est détachée de sa fontaine de cyprine, le chef des ventes arrive en plein entre les jambes délaissées de Nelly. Ni une ni deux, il plonge sa langue dans ce sexe qui a déjà été bien butiné. – C’est qui qui me butine si bien, je sens que ce n’est plus la secrétaire. – C’est moi cheffe. – Et qui c’est moi ? – Votre chef d’atelier. – Quand tu auras bien préparé la place de jeux, je t’invite à une partie, depuis le temps qu’on me la prépare, c’est le moment de mettre à exécution. En remontant le long du corps, il arrive avec sa bouche à hauteur des seins. – J’ose ? – Oui, c’est là pour s’en servir, mais après, j’aimerai bien une bonne queue pour calmer ma chatte qui crie de faim. – A votre service cheffe, c’est tout un honneur pour moi de niquer la femme du directeur. Lui qui s’est permis de niquer la mienne à plusieurs reprises avec promotion à la clé ou renvoi. – Oh le salaud, j’en apprends des belles sur mon mari. Il remonte encore un peu et son sexe se présente en face de la chatte de Nelly : – Madame, j’ose continuer ? – J’espère bien que tu ne vas pas t’arrêter en si bon chemin, mais tu peux me tutoyer. Juste à coté, on voit que le chef des ventes a persuadé la secrétaire d’accepter son hommage et a déjà glissé son mandrin entre les cuisses de la belle qui commence à ...

... couiner de manière pas trop discrète. – Mélanie, un peu de discrétion. Lui conseille Nelly. Soit belle et tais toi. – Mais je ne peux rien faire, c’est trop bon, il est autrement plus équipé que votre mari. – Ne me rappelle pas de mauvais souvenir. – Et surtout, il a une langue, à croire qu’il est polyglotte. Ouille ouille je sens que la température monte monte. — Viens mon chéri arrose ma chatte, elle est en feu, mets moi de bons coups de lance, éteints l’incendie qui ravage ma chatte. Dit-elle en collant sa bouche sur son suborneur. Plus tranquilles dans le fonds, Gustave et la doctoresse discutent gentiment sur leurs expériences en se caressant doucement. – Tu sais tu peux m’appeler par mon prénom, Thérèse, j’ai bien apprécié notre intermède et dès que tu es à nouveau en forme, je suis partante pour un second round. Dit-elle en palpant un peu autour du sexe de Gustave, je vois que ton pruneau n’est pas encore descendu, c’est pas pressant, car si il est au chaud, les risque que tu deviennes père de manière non voulue diminue sensiblement. Mais il ne faudra pas trop tarder quand même car cela sera de plus en plus difficile à faire descendre. Je vais essayer de le pousser un peu vers le bas. – C’est gentil, mais ne te sens pas obligée de me sucer en même temps. J’espère que je vais avoir récupéré dans les minutes qui suivent. – Pour moi, ce n’est pas une obligation, mais j’aime bien ta pine, surtout de sentir dans ma bouche son envol, de sentir avec ma langue les palpitations du ...