1. Les malheurs de Gustave (3)


    Datte: 17/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... jeu. Tu ne veux pas que je vienne sur toi ? – Oui, ce sera mieux. Il se désemboîte et à ce moment là, il sent un bouche récupéré son monstre pour le sucer, Sa mère profite de l’occasion pour se mettre le goût de la doctoresse en bouche. – Voila, cela va mieux comme cela dit la doctoresse en prenant l’épieu dans la main et l’enlevant à la suceuse qui se régalait puis en s’abaissant pour effleurer le bout du gland de ses lèvres inférieures, elle se chatouille le clito avec, puis gravement, stoïquement, elle engloutit le monstre dans sa grotte. Aïe, tu es vraiment gros, je vois que tu as bien fait tes exercices. C’est ta maman qui s’est dévouée ? – Pas seulement, au retour de Japon, Mélanie s’est dévouée, mais au fait où est-elle ? – Entre mes jambes dit sa mère, elle apprend qui est le nouveau patron et je crois qu’elle ne s’en plaint pas ! Juste qu’au début, elle m’a dit que le manque de douche avait transformé ma chatte de goût Emmental en un chabziger musclé. (NDR Le Schabziger est le plus ancien produit de marque protégée en Suisse : la recette a été fixée le 21 avril 1463 par la Landsgemeinde de Glaris1,2,3.Il fut vendu en Suisse par des vendeurs ambulants avec hotte sur le dos, les Zigermannli, qui venaient de Glaris et ce jusqu’aux années 1970. Ils pratiquaient la vente à la criée en criant le mot Schabzigre à la cantonnade.CF Wikipédia, Mais j’ai l’impression, qu’à l’origine au moins, c’était du fromage de Chèvre (die Ziege) d Zige en Suisse allemand ) – Je sens que la ...
    ... mayonnaise est en train de prendre, il y a pour fabriquer tout un régiment. – Pas de soucis, j’ai pris mes précautions, n’oublie pas que le sexe, c’est quand même ma spécialité, même si je ne suis pas trop habituée à des calibres comme le tien. Moi aussi je sens que je suis en train de planer, surtout avec celle qui s’occupe de mes tétons. – Qui ça, murmure Gustave – Qui veux-tu que ce soit ? C’est Nelly et elle fait très bien. – Je viens, je t’arrose ton intérieur, han ! Je vais te perforer. Encore et encore ça y est, j’ai tout déversé, j’ai les pruneaux asséchés. – Bon je me déboite et te laisse reprendre des forces. Hola! j’ai pas le temps de te ressortir qu’il y a déjà une gourmande qui vient te butiner. Dans le fonds du dortoir, une petite discussion à voix basse entre le chef d’atelier et le chef des ventes. – J’ai l’impression que où c’est couché la patronne, il y a du rififi. Cela sent un peu la femelle, qu’en penses-tu ? – Si je me souviens bien, ce séminaire doit servir à resserrer les liens entre les membres de l’équipe. Je suppose qu’on devrait essayer aussi de resserrer nos liens, on se rapproche ? – Oui, au pire on se fait rembarquer. Ainsi nos deux compères, rampant sur les matelas se rapprochent du lunapar qui est déjà bien avancé. Le premier se heurte à la secrétaire qui à plat ventre est toujours entrain de déguster sa patronne. – Hum que voilà une belle paire de fesse, dit le chef d’atelier en tirant contre en bas le jogging et mettant une lune pleine qui ...
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