Les malheurs de Gustave (3) - Histoires de Sexe

Les malheurs de Gustave (3)

... sang qui remplissent les corps creux qui, rapidement ne le sont plus (creux). J’adore. Lentement, le monstre revient à la vie. – Tu ne veux pas un petit coup de langue pour rafraîchir l’entrée du paradis ? – Oui volontiers lui dit-elle en effectuant un demi-tour pour lui présenter sa moule à déguster. N’oublie pas mon clito, il adore quand on le confond avec un carambar. – T’en fais pas, je le trouve vraiment attirant, on dirait une petite bite. – Mais d’une certaine façon, c’est une petite bite, mais elle ne crache pas son foutre, c’est plus bas que cela se passe. Quelques léchouilles plus tard, Thérèse dit : – Je crois qu’on est près pour entamer le second round. Viens, c’est assez humide et j’adore tellement quand tu me rappes la motte. Le lendemain matin, les participants, à part le cuisinier, le publiciste et la graphique arrivent un peu fatigué à déjeuner et on passe à la toilette par couple pour mieux pouvoir se laver. Le cuisinier à fourni une 20aine de litres pour le nettoyage, c’est pas beaucoup, il faut économiser pour que les derniers puissent aussi se nettoyer des folies de la nuit passée. Après un bon déjeuner et des cafés bien forts qui réveillent, le séminaire reprend et Nelly commence à poser des questions au publiciste et à la graphique si ils ont cogité cette nuit quelque chose d’intéressant. – Question cogitation, ce fut moins animé que certaines parties du dortoir, mais malgré tout on a un peu discuter. Pour la plaquette, une tendance générale se ...

... dessine. Ce matin, je vais commencer à faire une esquisse de maquette qui je l’espère vous plaira. – Merci et pour le graphisme ? – Cela dépend un peu de la plaquette mais on travaille la main dans la main. – C’est bien. D’autres remarques ? – ….. Le séminaire avance bien et tous y participent avec enthousiasme, même Thérèse dont ce n’est pas la spécialité. À l’aube du souper, la plaquette est pratiquement prête. – Il faut encore que l’on voit comment on va faire la déco du stand. Si il y a des idées qui sont prêtes. A nouveau, après souper, il y a plusieurs idées fortes qui sont présentées et le lendemain, avant de descendre, on va essayer de les mettre au propre. Mélanie a presque des crampes à la main à force de prendre des notes et dire que la nuit cela va continuer pense-telle. Je vais attraper une épicondylite , je vais voir Thérèse avant que le mal arrive. En tout cas, je vais moins participer et laisser un peu de place aux autres. – Thérèse, j’ai un problème avec mon poignet, je n’arrive bientôt plus à écrire entre hier, cette nuit et aujourd’hui, je pense que je vais attraper une épicondylite. – Je vais voir ce que je peux faire, tu veux une excuse médicale pour reposer ton poignet, pour le reste, je ne peux rien faire. J’en toucherai un mot à Nelly pour voir comment continuer. La nuit tombe et les participants aussi, mais un peu de sommeil, la journée a été dure pour sortir cette foutue plaquette. Avant d’aller se coucher, Thérèse approche Gustave : – ce soir, il te faudra ...