1. Quand Cupidon organise le hasard...


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, fbi, amour, volupté, pénétratio, init, ecriv_c,

    ... sa cuisse qui s’installe entre les miennes, qui m’écrase le sexe. — Bonjour, mon bourreau, murmure-t-elle, j’ai mal partout, partout. On recommence ? J’ai pas eu mon compte… Je tente de me soulever. « Quoi ? déjà… » pensé-je, amusé. Mais elle me maintient plaqué. — Comment, pas ton compte ? dis-je étonné. Elle m’écrase davantage, frotte ses seins sur mon torse et énerve mon entrejambe de sa cuisse. — Dis donc, macho, tu sais bien, allez, cossard… au boulot ! Je sens sa main prendre la température. — Ah ! mais… il est réveillé le monstre ! glousse-t-elle, voyons… Et je la vois descendre, descendre… Et bientôt, spectacle inattendu, sa tête près du « monstre » comme elle dit… Un regard coquin, avec le bout d’un doigt dans la bouche, comme une gamine, et soudain ses lèvres qui s’arrondissent et me gobent le gland. Je me cambre… — Lauuuuure !. Fermant les yeux, elle me suce juste le bout en salivant au maximum… puis elle glisse de côté et se met sur le dos. — Viens sur moi, un truc de lesbienne, tu vas voir… Elle entreprend alors de se caresser avec mon sexe avec une dextérité extraordinaire, comme ces demoiselles le font avec un gode… Concentrée, les yeux fermés, d’une main elle se caresse les seins ; je ne suis plus que l’objet de son plaisir solitaire. Bien sûr, pour moi, l’émotion est à son comble… Caresse sublime. Qui n’a pas connu ? Très vite, mouillant abondamment, elle est parcourue de spasmes de plus en plus rapprochés. Elle jouit soudain, brutalement, avec un hurlement, ...
    ... comme à son habitude. Bonjour, les voisins ! Sa main me dirige alors vers sa grotte secrète et d’un coup de rein elle s’empale, recherchant un contact profond en remuant ses fesses. — À toi ! Vas-y, doucement… viens, lâche-toi ! s’écrie-t-elle. Elle geint suivant mon rythme et bientôt je l’inonde, lui faisant pousser des petits cris qui se mêlent à mes propres soupirs. Je me laisse tomber sur le côté, vidé. Quelle femme ! Quelle amante ! J’ai une pensée brusque et « amicale » pour Clara. Comme elle, Laure a un tempérament de volcan ! Je me construis des images d’elles deux faisant l’amour… Dans le fond, c’est peut-être à voir… « Quel salaud je suis ! » et je chasse cette vision. Laure est là avec moi et découvre l’amour hétéro, restons-en là ! À nouveau, calme après la tempête. À nouveau, elle se love contre moi en ronronnant. — Dis donc, lui dis-je, on fait fort… tu veux ma peau, et tu prends goût à l’homme, non ? Elle se soulève sur un coude et m’attrape tout d’une main, principal et accessoires, en serrant à me faire mal. Aïe ! Elle doit être en colère… — NON ! je te l’ai déjà dit : l’homme, pour moi, c’est toi, QUE toi ! Je ris, d’avance, de ma réponse. — Oui, comme ça, si on doit un jour former un couple, je ne serai pas cocu ! Lestement, elle revient me chevaucher en me posant les mains sur les épaules. — Ah oui ? me jette-t-elle en me souriant d’une drôle de façon, pas cocu avec un homme, c’est certain, mais je te garantis qu’avec une femme, c’est possible ! Nous nous ...