1. Le jeu de rôle


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, jeunes, profélève, amour, intermast, Oral pénétratio, jeu,

    Le cours s’acheva et je me dépêchai de quitter Magali pour essayer de retrouver Juliette. J’avais eu le temps de réfléchir un peu, pendant que Magali faisait ses exercices, à ce qui venait de se passer entre Juliette et moi et j’avais pris une décision. Le fait qu’on se soit jeté l’un sur l’autre n’était pas anodin et je voulais que cela aboutisse à quelque chose. J’avais vraiment le béguin pour elle, ce n’était pas juste une pulsion passagère. Malheureusement, Juliette n’était plus là et Michelle m’expliqua qu’elle venait de partir. Dépité, je quittai donc la villa, me demandant ce que Juliette pensait de ce qui s’était passé. M’en voulait-elle de l’avoir laissé, sans un mot, pour aller donner un cours à sa sœur, ou bien n’avait-elle aucune envie d’aller plus loin avec moi ? Autant de doutes qui m’habitèrent toute la soirée et j’espérai vraiment la voir le lendemain matin. Juliette avait pratiquement toujours été là depuis que je donnais des cours à Magali. On aurait sans doute la possibilité de parler. Je pourrai lui donner un rendez-vous pour l’après-midi, par exemple. Le matin, j’arrivai donc plein d’espoir à la villa. Ce fut une nouvelle fois Michelle qui m’ouvrit et je montai directement jusqu’à la chambre de Magali. En passant devant l’atelier de peinture de Juliette, dont la porte était fermée, je me repassai les évènements de la veille en tête avec, à n’en pas douter, un sourire idiot. Pourtant, j’étais très angoissé à l’idée de croiser Juliette dans le couloir, ...
    ... là, tout de suite. Je préférai infiniment la voir après le cours. Je frappai donc à la porte de Magali et la voix encore endormie de celle-ci me répondit « une minute ! ». Décidément, cela faisait deux fois que l’on reportait le cour à la matinée, et cela faisait deux fois que je réveillai mon élève. Il était dix heures, ce n’était tout de même pas les aurores ! Cela me fit penser à la fois précédente où le cour avait eu lieu le matin. Juliette avec sa serviette qui nous avait interrompu… Décidément, mes pensées n’arrivaient pas à se défaire d’elle, j’étais vraiment mordu ! La porte s’ouvrit sur une Magali encore plus hirsute que la dernière fois. Elle me regarda un moment, comme si elle se demandait ce que je faisais là, puis sembla se souvenir du cours. — Ah oui, merde !, laissa-t-elle échapper.— Oui, bonjour à toi aussi, rétorquai-je amusé. Elle me fit entrer et alluma le plafonnier, les volets encore fermés ne laissant filtrer aucune lumière. La dernière fois que je l’avais réveillée, il ne m’avait pas semblé autant la prendre au dépourvu. Elle n’était pas maquillée, pas coiffée et portait un long t-shirt qui lui descendait presque jusqu’aux genoux, un t-shirt noir avec une tête de mort, évidemment. Elle, qui portait souvent des minijupes, me laissait une fois de plus admirer ses jolies jambes. Une odeur persistante mais pas désagréable, peut-être une odeur de transpiration, flottait dans la pièce. Magali n’avait pas eu le temps d’aérer sa chambre et les nuits chaudes du ...
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