1. Le jeu de rôle


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, jeunes, profélève, amour, intermast, Oral pénétratio, jeu,

    ... moment suffisaient à expliquer ces effluves, assez enivrantes, je dois bien l’avouer. Cela me fit une impression étrange, comme si sentir son odeur me faisait entrer d’un nouveau pas dans l’intimité de mon élève. — Assieds-toi, me fit-elle en désignant la chaise que j’avais l’habitude d’occuper, le temps que j’enfile quelque chose d’autre. Plus que troublé, je compris qu’elle parlait de se changer, là, dans cette pièce. — Tu veux peut-être que je sorte ?, demandai-je sans savoir si j’espérai qu’elle refuse ou qu’elle accepte ma proposition polie. Ses petits yeux endormis se tournèrent vers moi, comme si elle n’avait même pas pensé que cela pouvait être embêtant. Elle sourit et dit : — Non, c’est vite fait. Tourne-toi de ce côté-là et ça ira. Elle m’indiqua le mur face à son bureau et j’obéis bien sagement, me souvenant très bien du petit miroir qui m’avait déjà permis d’observer Juliette choisir des vêtements dans l’armoire quelques jours auparavant. Je me souvins aussi que Magali m’avait semblé tout comprendre de mon manège ce jour-là. Etait-elle encore trop endormie pour y penser ou faisait-elle tout ça à dessein ? Je vis donc, grâce au petit miroir, Magali ouvrir son armoire. Elle la parcourut un moment des yeux, puis fit avec une voix rieuse : — Tiens, c’est à Juliette ça ! Elle décrocha un cintre sur lequel reposait une petite robe d’été à fleur qui n’avait, effectivement, pas grand chose à voir avec le reste de sa garde-robe. — Pourquoi pas… Le moment attendu arrivait. ...
    ... Elle reposa le cintre puis commença à retirer son t-shirt. J’avais la gorge nouée et je commençai même à avoir très peur de me faire surprendre, mais Magali me tournait complètement le dos et, lorsqu’elle ôta son t-shirt, seul celui-ci fut offert à ma vision. Elle ne portait plus qu’une culotte toute simple en coton qui laissait deviner de jolies fesses rondes et mon regard remonta du bas de son dos sur ses hanches, jusqu’à ses omoplates, pour finir sur ses épaules. En fait, ce fut très fugace car elle enfila aussitôt la robe, sans me laisser la moindre chance d’apercevoir ne serait-ce qu’un sein. Et pourtant, la vision de son dos, qui n’est pourtant pas la partie du corps la plus cachée aux regards voyeurs comme le mien, m’émut et me laissa un bon moment dans un état étrange. Je fis attention à détourner mon regard du miroir pendant qu’elle se dirigeait vers la fenêtre pour ouvrir les volets. Elle vint finalement s’asseoir à côté de moi et me fit un sourire. — Je crois que c’est bon, on peut y aller, me fit-elle. Dissimulant mon trouble, j’acquiesçai mais je ne pus m’empêcher de la parcourir une nouvelle fois du regard. Dans cette robe colorée et sans maquillage, elle ressemblait beaucoup plus à Juliette que d’habitude. Autant dire que je la trouvais magnifique. Magali dut se méprendre sur mon regard car elle me dit : — Si tu cherches une vanne à me balancer, je t’arrête tout de suite. C’est pas ma robe, elle appartient à ta « chérie ». Son sourire était évidemment moqueur ...
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