1. Une famille sexuellement débridée (8)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    La fourgonnette jaune était garée à cheval sur la route et sur la berme. — Elle est peut-être pas seule ta mère ? — Qu’est-ce que ça peut foutre ? — Tu crois qu’elle se le tape aussi ? — Le facteur ? — Ben, c’est sa voiture là... — Ça dépend. Elle se tape le plus jeune. Si c’est lui ce matin, il y a moyen... il doit être en train de la sauter. — Elle va être surprise de nous voir. Stéphane avait raison. Nous n’aurions pas dû être là. Mais, en arrivant au bahut, nous apprîmes que les profs venaient de se mettre en grève, l’un des leurs ayant été agressé par un parent d’élève. — On va chez toi ? Avait-il proposé tout de suite, dès que nous étions montés dans sa voiture. — Toi, tu veux tirer un coup avec ma mère... — Ben euh... — Tu me laisseras baiser la tienne ? — Non, laisse tomber. C’était pas une bonne idée. On va chez moi et on bosse. — Non, non... je disais ça pour rire... allez, file. Maman est là ce matin et elle est chaude comme la braise. — Comment tu le sais ? — Papa l’a grimpée... bruyamment. — Putain, qu’est-ce qu’ils sont chauds tes parents ! — T’es chaud aussi toi... — Pas faux. Nous n’avions pas prévu que le facteur pourrait être à la maison. Ils étaient deux à faire la tournée, dont le plus jeune, originaire de Martinique, honorait de belle façon les deux dernières syllabes de son département d’origine quand il était avec maman. Dès que j’eus poussé la porte, je sus qu’il était là. Leurs ébats sonores étaient audibles du rez-de-chaussée. Nous montâmes en ...
    ... silence. Ils étaient dans la cuisine. Une tasse à café vide sur la table et ma mère penchée sur l’évier la croupe bien tendue, montraient toute l’hospitalité dont maman était capable. Le gars avait son pantalon sur les chevilles, sa chemise ouverte et il besognait ma génitrice avec ardeur. Elle gémissait de plaisir tandis qu’il s’autocongratulait de ses exploits. — Elle te fait du bien la grosse matraque à Théophane, tu la sens bien ma grosse queue cochonne. T’as vu comme elle entre tout entière dans ta fente... — Comme une lettre à la poste ! Dis-je. Ils sursautèrent ! Le postier s’arrêta de piner. — Mon chou, qu’est-ce que vous faites là tous les deux ? Vous n’avez pas cours ? — Grève ! Il reste du café m’man ? — Oui mon chéri, regarde... et toi, ne mollis pas ! Continue. — Je peux continuer là ? Devant ton fils et l’autre garçon ? — Ben oui, mon fils est un grand garçon. Il a déjà vu des gens baiser. — Et lui c’est qui ? Il est pas de la commune. — C’est mon meilleur pote... Steph... tu lui fais de la place ? Steph n’attendait que cela et commença à se déloquer. Sa belle tige me faisait envie, comme les fesses noires et bien rebondies de l’employé des postes. — Assieds-toi mon petit bonhomme, dit maman. Stéphane prit donc un siège et maman se pencha sur son sexe gonflé tout en se faisant toujours mettre par-derrière par le black qui redoublait d’énergie. Je les regardai en bandant. — On change de place ? demanda Steph... — OK, OK. Le facteur posa donc son cul sur la chaise en ...
«123»